Alors que la mesure rendant obligatoire la détention d’une autorisation électronique de voyage (ETA) avant le départ venait tout juste d’entrer en vigueur le 15 octobre 2025, le Département de l’immigration et de l’émigration du Sri Lanka vient finalement de suspendre cette décision.

Dans un communiqué officiel, l’administration précise que « l’annonce publiée le 13 octobre 2025, qui déclarait que l’obtention d’une autorisation électronique de voyage (ETA) serait obligatoire pour tous les visiteurs de courte durée (tourisme et affaires) se rendant au Sri Lanka à compter du 15 octobre 2025, est par la présente révoquée jusqu’à nouvel ordre ».

En conséquence, « tous les services liés à l’ETA et les autres procédures de délivrance de visas continueront à fonctionner comme avant le 15 octobre 2025, sans aucun changement », précise l’immigration sri-lankaise.

Cette décision intervient quelques jours seulement après la mise en application du nouveau dispositif. Celui-ci devait rendre obligatoire la présentation d’une ETA valide dès l’embarquement, une mesure notamment relayée par plusieurs ambassades sri-lankaises.

La suspension temporaire de cette obligation marque donc un revirement inattendu, alors que la haute saison touristique approche.

Vers une exemption de frais d’ETA pour 33 nouveaux pays

Les visiteurs étrangers se rendant au Sri Lanka pour un séjour touristique ou d’affaires peuvent donc continuer à obtenir une autorisation de voyage électronique (ETA) selon les modalités précédentes, y compris à l’arrivée.

Le site officiel eta.gov.lk reste la plateforme de référence pour effectuer cette démarche en ligne.

Parallèlement, les autorités sri-lankaises envisagent d’introduire une exemption des frais d’ETA pour les ressortissants de 33 pays. Cette mesure pourrait entrer en vigueur « d’ici un ou deux mois », dans le cadre d’une politique de relance du tourisme international visant à encourager les arrivées de visiteurs étrangers après une période de fluctuations réglementaires.

En juillet dernier, le gouvernement sri-lankais avait annoncé son intention d’étendre la gratuité de l’ETA à 33 pays supplémentaires, dans le cadre d’un programme visant à faciliter les formalités d’entrée et à renforcer l’attractivité de la destination.

Cette mesure devait ainsi s’ajouter à la gratuité déjà accordée à plusieurs nationalités, à savoir les citoyens de Chine, d’Inde, d’Indonésie, du Japon, de Malaisie, de Russie et de Thaïlande.

Plusieurs mois après cette annonce, la mesure n’est toujours pas entrée en vigueur et les touristes français, belges, canadiens ou encore suisses, concernés par cette expansion, doivent toujours payer 50 US$ pour obtenir leur autorisation de voyage électronique (ETA) avant de se rendre au Sri Lanka.

Mais d’après les médias locaux, cela pourrait toutefois bientôt changer…

ETA gratuite pour le Sri Lanka : des clarifications juridiques encore attendues

Comme le rapporte le média sri-lankais EconomyNext, le ministre des Affaires étrangères, de l’Emploi à l’étranger et du Tourisme, Vijitha Herath, a expliqué hier, à l’issue du Conseil des ministres, que l’entrée en vigueur du dispositif de gratuité de l’ETA nécessitait encore une validation parlementaire.

« Nous devons soumettre la nouvelle notification au Parlement. Ensuite, nous mettrons en œuvre ce processus« , a indiqué le ministre.

Selon Vijitha Herath, le processus d’ETA gratuite pourrait aboutir d’ici la fin de l’année. « Nous espérons le finaliser d’ici un ou deux mois », a-t-il précisé.

Le ministre a également révélé que le gouvernement demeure en attente des instructions du Procureur général suite à « l’affaire » liée à l’ancien système de visa électronique (e-Visa)…

Un contexte marqué par des changements de systèmes

Toujours selon EconomyNext, Vijitha Herath a déclaré que les autorités attendaient ainsi « des éclaircissements de la part du Procureur général, car l’affaire concernant l’ancien système de visa en ligne n’est toujours pas terminée. Nous avons besoin de conseils juridiques concernant les recettes lorsque nous optons pour un système de visa gratuit ».

Ce point juridique retarde donc la publication de la notification légale nécessaire à l’entrée en vigueur de la délivrance de l’ETA sans frais, dans un contexte marqué par une période de transition complexe dans la gestion des visas électroniques au Sri Lanka.

L’ »ex-ancien » système ETA, longtemps en place, avait été temporairement remplacé en avril 2024 par un e-Visa opéré par un prestataire privé.

Ce dispositif avait ensuite été suspendu 4 mois après son entrée en vigueur, avant que les autorités ne réactivent le portail officiel ETA à la suite d’audits et d’enquêtes sur la gestion financière de l’ancien contrat.

Qui sera concerné par cette future exemption de frais d’ETA ?

Depuis la réactivation du site officiel eta.gov.lk, le système est pleinement opérationnel et, depuis le 15 octobre 2025, l’obtention d’une ETA avant le départ est devenue obligatoire pour tous les visiteurs.

Selon les annonces officielles, les 33 pays suivants devraient bénéficier de l’exemption de frais d’autorisation de voyage électronique (ETA) :

• Allemagne, Arabie saoudite, Australie, Autriche, Bahreïn, Belgique, Biélorussie, Canada, Corée du Sud, Danemark, Émirats arabes unis, Espagne, États-Unis, Finlande, France, Iran, Israël, Italie, Kazakhstan, Koweït, Népal, Norvège, Nouvelle-Zélande, Oman, Pakistan, Pays-Bas, Pologne, Qatar, République tchèque, Royaume-Uni, Suède, Suisse et Turquie.

Cette liste est susceptible d’évoluer avant l’entrée en vigueur effective du dispositif de gratuité. En attendant la publication de la notification au Journal officiel, les voyageurs demeurent soumis aux frais habituels et à la procédure ETA obligatoire avant le départ.

À l’approche de la saison touristique, les autorités du Sri Lanka accélèrent leurs efforts pour renforcer les infrastructures et faciliter les démarches des voyageurs.

Un groupe de travail spécial, nommé par le président Anura Kumara Dissanayake, s’est réuni pour la deuxième fois ce 14 octobre au secrétariat présidentiel, afin de suivre la mise en œuvre de plusieurs mesures destinées à dynamiser le secteur touristique.

« Le gouvernement a lancé plusieurs initiatives visant à améliorer les infrastructures et les services destinés aux touristes avant la saison touristique à venir », explique la Division des Médias du Président (PMD).

Simplifier l’obtention des visas et de l’ETA pour voyager au Sri Lanka

L’un des principaux sujets abordés lors de cette réunion concerne la « facilitation de la délivrance des visas » et la « rationalisation du processus d’autorisation de voyage électronique (ETA) », devenue hier obligatoire avant le départ pour tous les visiteurs étrangers.

Le gouvernement entend rendre ces démarches plus fluides et plus rapides, notamment grâce à une meilleure coordination entre les services concernés.

Les discussions ont également porté sur la réduction des files d’attente dans les aéroports, un problème récurrent durant les périodes de forte affluence. Le groupe de travail a proposé d’augmenter le nombre de guichets destinés au contrôle et à l’accueil des touristes, afin d’améliorer la circulation des passagers dès leur arrivée sur le territoire.

Parallèlement, le gouvernement souhaite moderniser les systèmes d’achat de billets en ligne pour les principales attractions touristiques du pays. L’objectif est de simplifier les transactions et de limiter les congestions sur place, tout en favorisant une meilleure planification des visites pour les voyageurs.

Selon les données communiquées par l’Autorité de Développement du Tourisme du Sri Lanka (SLTDA), le pays a accueilli 1 788 235 visiteurs internationaux depuis le début de l’année 2025. L’Inde reste de loin le premier marché émetteur avec 393 591 visiteurs, suivie du Royaume-Uni (166 767) et de la Russie (125 035). L’Allemagne (110 792) et la Chine (107 007) complètent le top 5. Viennent ensuite la France (89 825), l’Australie (80 334), les Pays-Bas (53 645), les États-Unis (49 732) et le Bangladesh (48 053), illustrant la diversité géographique de la clientèle touristique du Sri Lanka.

La nouvelle réglementation entre officiellement en vigueur ce 15 octobre : les voyageurs souhaitant se rendre au Sri Lanka pour un séjour touristique ou professionnel doivent désormais être en possession d’une autorisation de voyage électronique « ETA » valide avant leur départ. Cette formalité, déjà en place depuis plusieurs années, ne pourra plus être complétée à l’arrivée.

L’annonce, partagée il y a quelques jours par de nombreuses ambassades sri-lankaises à travers le monde, est aujourd’hui confirmée par le Département de l’Immigration et de l’Émigration (DIE) :

À compter du 15 octobre 2025, tous les voyageurs se rendant au Sri Lanka pour un court séjour (tourisme ou affaires) devront obtenir une autorisation électronique de voyage (ETA).

L’immigration sri-lankaise indique qu’elle prendra des mesures actives pour garantir la délivrance rapide de l’ETA, notamment dans le contexte de la prochaine haute saison touristique.

L’ETA reste valable pour les séjours de courte durée (tourisme ou affaires), et sa présentation est dorénavant requise dès l’embarquement. Les compagnies aériennes sont chargées de s’assurer que les passagers disposent bien de l’autorisation avant leur enregistrement.

Des régimes spécifiques selon les nationalités

Le site officiel www.eta.gov.lk précise que certains voyageurs continuent cependant de bénéficier de conditions préférentielles :

• Les ressortissants des Seychelles, des Maldives et de Singapour sont exonérés de frais pour les séjours touristiques, conformément aux accords bilatéraux existants.
• Les détenteurs de passeports de la Chine, de l’Inde, de la Russie, de la Thaïlande, de l’Indonésie, de la Malaisie et du Japon peuvent également obtenir gratuitement leur ETA à des fins touristiques, selon les dispositions en vigueur.

Les ressortissants d’autres pays doivent s’acquitter de frais pour leur demande d’ETA, qu’elle soit liée au tourisme ou aux affaires. Cela concerne notamment les voyageurs de pays comme la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, les États-Unis, le Canada ou encore l’Australie, bien que les autorités sri-lankaises aient annoncé en juillet dernier leur intention d’exempter prochainement de frais d’ETA les voyageurs de 33 pays supplémentaires. Cette mesure n’est, à ce jour, pas encore entrée en vigueur.

La demande d’ETA doit donc obligatoirement être effectuée en ligne avant le voyage au Sri Lanka, la procédure se veut rapide et accessible, mais les autorités recommandent de l’anticiper suffisamment avant le départ afin d’éviter tout refus d’embarquement ou de complications à l’arrivée.

Cette nouvelle règle, confirmée par plusieurs ambassades du Sri Lanka, dont celles en France, en Indonésie ou encore en Turquie, modifie sensiblement les formalités d’entrée dans le pays.

Jusqu’ici, certains voyageurs pouvaient demander leur ETA en ligne avant leur départ ou, à défaut, l’obtenir à l’aéroport à leur arrivée. Mais à compter du 15 octobre 2025, cette possibilité disparaît : aucun touriste ne pourra entrer au Sri Lanka sans avoir préalablement obtenu son ETA en ligne.

« L’Ambassade du Sri Lanka a l’honneur d’informer que, à compter du 15 octobre 2025, tous les ressortissants étrangers se rendant au Sri Lanka à des fins touristiques devront obligatoirement obtenir, une Autorisation de Voyage Électronique (ETA), avant leur arrivée », annonce la mission diplomatique sri-lankaise en France.

La mesure concerne tous les ressortissants étrangers, y compris ceux en provenance de pays qui bénéficient d’une exemption de frais d’ETA, comme la Chine, l’Inde, la Russie, l’Indonésie, la Thaïlande, la Malaisie ou le Japon.

ETA Sri Lanka : une éventuelle gratuité pour de nombreux pays encore incertaine

Alors que seuls ces sept pays bénéficient actuellement de cette mesure, le gouvernement sri-lankais avait annoncé en juillet dernier son intention d’élargir son initiative d’exemption de frais d’ETA à 33 pays supplémentaires afin de stimuler les arrivées internationales.

Les 33 pays concernés par cette possible future exemption de frais d’ETA seraient les suivants:

• Allemagne, Arabie saoudite, Australie, Autriche, Bahreïn, Belgique, Biélorussie, Canada, Corée du Sud, Danemark, Émirats arabes unis, Espagne, États-Unis, Finlande, France, Iran, Israël, Italie, Kazakhstan, Koweït, Népal, Norvège, Nouvelle-Zélande, Oman, Pakistan, Pays-Bas, Pologne, Qatar, République tchèque, Royaume-Uni, Suède, Suisse et Turquie.

Cette gratuité n’ayant pas encore été officialisée, ni appliquée, tous les voyageurs doivent donc s’acquitter des frais habituels lors de leur demande en ligne.

Sri Lanka : plus d’1,7 million d’arrivées internationales déjà enregistrées en 2025

Le cap des 1,7 million d’arrivées touristiques a déjà été dépassé au Sri Lanka en 2025, porté par une fréquentation de près de 150 000 visiteurs rien qu’au mois de septembre. L’Inde conserve sa position de premier marché émetteur et demeure le principal moteur de cette expansion.

Auprès des voyageurs français, le pays confirme également son attractivité : de janvier à août 2025, 83 011 touristes français ont choisi la destination, soit une progression de 23,3 % par rapport à l’année précédente. La France occupe ainsi la sixième place des marchés émetteurs et la deuxième au sein de l’Union européenne.

Une dynamique qui devrait se prolonger dans les mois à venir, selon les autorités. Les experts estiment que 2025 pourrait devenir une année de référence, en dépassant le précédent record de 2,3 millions d’arrivées atteint en 2018.

Comment obtenir l’ETA pour le Sri Lanka ?

L’autorisation de voyage électronique ETA est un visa électronique qui s’obtient uniquement en ligne sur le site officiel eta.gov.lk.

• Procédure : remplir le formulaire électronique, régler les frais correspondants et attendre la confirmation, généralement envoyée par e-mail en quelques minutes/heures.
• Prix : 50 USD pour une ETA avec double entrées.
• Validité : 6 mois à compter de la date d’émission.
• Durée du séjour autorisée : jusqu’à 30 jours, avec possibilité de prolongation auprès des services compétents sur place.

Le 25 juillet dernier, le Sri Lanka annonçait le prochain ajout de 33 pays à la liste des voyageurs exemptés de frais de visa ETA. Une information abondamment relayée, parfois comme si elle était déjà en vigueur… Mais la mesure n’est pas encore entrée en application : les voyageurs concernés doivent toujours s’acquitter des frais habituels.

Lors de l’inauguration du salon Hotel Show Colombo 2025 le 25 juillet 2025, le ministre des Affaires étrangères, Vijitha Herath, a annoncé que le Sri Lanka s’apprêtait à élargir son dispositif d’exemption des frais de visa ETA à 40 pays.

« Cette décision fait suite à l’accord du Cabinet, la semaine dernière, d’étendre la liste actuelle de sept pays éligibles à 40 », avait alors déclaré le ministre aux journalistes présents.

Comme en 2024 lors d’une annonce similaire, cette déclaration a suffi à déclencher une vague de publications enthousiastes dans certains médias et sur les réseaux sociaux, invitant déjà les voyageurs à profiter de cette nouvelle gratuité de visa. Elle a également suscité un grand nombre d’interrogations parmi nos lecteurs, qui nous contactent régulièrement pour savoir comment profiter de cette exemption de frais d’ETA…

Pourtant, il ne s’agit bien à ce stade que d’une annonce. Aucun décret officiel, aucune mise à jour du site de l’immigration sri-lankaise et aucune date d’entrée en vigueur n’ont pour l’heure été annoncés par les autorités.

Pour l’instant, le visa ETA reste payant pour voyager au Sri Lanka

En pratique, la situation demeure donc inchangée : tous les voyageurs doivent encore demander une autorisation de voyage électronique (ETA) avant de partir, et payer les frais correspondants (50 USD).

Les conditions d’entrée et règles actuelles s’appliquent ainsi jusqu’à nouvel ordre, malgré l’enthousiasme suscité par l’annonce du mois dernier.

L’ETA pour le Sri Lanka est valable 6 mois à compter de sa délivrance et permet d’entrer deux fois sur le territoire. Elle autorise un séjour initial de 30 jours, qui peut être prolongé jusqu’à 90 jours, en ligne ou dans un bureau de l’immigration, puis étendue une seconde fois de 90 jours supplémentaires.

Les 33 nouveaux pays qui pourraient rejoindre les 7 déjà exemptés de frais de visa

Aujourd’hui, seuls les titulaires de passeports ordinaires, diplomatiques, officiels ou de service de Chine, Inde, Indonésie, Japon, Malaisie, Russie et Thaïlande bénéficient d’une ETA gratuite.

Comme le rappelle le portail officiel eta.gov.lk, « ce régime d’exemption de frais de visa s’applique aux sept pays désignés ci-dessus, les autres pays sont soumis aux règles et réglementations générales applicables à l’ETA du Sri Lanka ».

Si la réforme annoncée entre en vigueur, 33 nouveaux pays* viendraient s’ajouter à cette liste, portant le total à 40 :

Une réforme attendue mais encore incertaine

L’extension de ce régime d’ETA gratuite viserait à stimuler le tourisme, secteur vital pour l’économie sri-lankaise. En 2024, le Sri Lanka a accueilli plus de 2 millions de visiteurs internationaux et espère atteindre la barre des 3 millions cette année.

Même si la suppression des frais de visa ETA devrait entraîner une perte annuelle d’environ 66 millions de dollars pour le Sri Lanka, Vijitha Herath estime que l’essor du tourisme et ses retombées économiques indirectes compenseraient largement ce manque à gagner. « Nous avons stabilisé l’économie et, grâce à des changements de politique en matière de tourisme, nous voulons assurer une croissance régulière du nombre de visiteurs », a déclaré le ministre.

Mais tant que l’annonce de juillet dernier n’a pas été transformée en texte officiel, les voyageurs doivent rester vigilants et continuer à effectuer les démarches habituelles.

Les seules sources fiables demeurent le portail officiel de l’immigration sri-lankaise, qui sera mis à jour en cas de modification effective des conditions d’entrée, et bien entendu VisasNews (😊).

Observer des animaux sauvages spectaculaires évoluer en liberté, s’approcher d’eux pour les voir de près est un rêve très largement partagé par une majorité d’entre nous. Un safari vous permettra de le réaliser et de vivre des vacances inoubliables. Pour se sentir tout petit à côté d’un éléphant ou d’une girafe, s’immerger dans une nature intacte, vous avez le choix entre l’Afrique, mais aussi l’Asie. Découvrez notre top 3 des meilleures destinations pour un safari.

L’Afrique du Sud, la destination star des safaris

C’est en Afrique du Sud que se trouve le légendaire Parc Kruger. Avec près de 20 000 kilomètres carrés de superficie, c’est l’un des parcs de safari les plus célèbres au monde. Il abrite notamment les Big Five, éléphants, lions, léopards, rhinocéros et buffles, mais pas seulement.

Grâce à une biodiversité exceptionnelle, ce sont plus de 150 espèces de mammifères, 500 espèces d’oiseaux, ainsi que plus de 100 espèces de reptiles et d’amphibiens qui y vivent en liberté. Vous traverserez des paysages variés où vous pourrez admirer des antilopes, impalas, girafes, zèbres, léopards, hyènes, crocodiles ou encore des hippopotames.

Les saisons sèches, de juin à août et de décembre à février, sont des périodes idéales pour partir en safari dans le parc Kruger lors d’un voyage en Afrique du Sud.

Un safari en Tanzanie, l’autre pays du Big Five

S’il n’y a qu’un voyage en Afrique qui vous permettra d’observer les Big Five, mais l’Afrique du Sud n’est pas le seul pays où envisager un safari. La Tanzanie est aussi une destination très réputée pour sa faune sauvage.

À la frontière avec le Kenya, le Parc National du Serengeti se déploie sur près de 15 000 km² de savanes. Outre les Big Five, vous y croiserez de nombreux mammifères dont des gnous, des antilopes et des zèbres, mais aussi de nombreux oiseaux. C’est aussi en Tanzanie que se trouve le cratère de Ngorongoro, entouré de sommets et de lacs, qui abrite la plus forte densité de lions de toute l’Afrique, mais aussi des flamants roses, des gnous, des hippopotames, des zèbres, des hyènes et des antilopes. Enfin, parc de Tarangire est le territoire des éléphants qui cohabitent avec des buffles, des lions, des éléphants, des rhinocéros noirs et des léopards.

La période idéale pour planifier ce voyage se situe pendant la saison sèche, de janvier à février et de juin à octobre.

Le Sri Lanka pour un safari en Asie

En Asie, le Sri Lanka est notamment réputé pour son grand nombre de parcs nationaux. Vous découvrirez que la faune d’Asie du Sud-Est n’a rien à envier à celle d’Afrique. Le parc le plus connu du Sri Lanka est sans aucun doute Yala. De nombreux safaris y sont organisés. Vous pourrez y croiser des éléphants, des buffles d’eau, des crocodiles, des léopards et même des ours.  Cependant, si vous souhaitez observer un grand nombre d’éléphants de près, vous préfèrerez Uda Walawe. Les passionnés de bird watching trouveront leur bonheur à Bundala. Enfin, si vous aimez sortir des sentiers battus, le parc de Lunugamvehera et sa communauté de léopards fera votre bonheur. Vous pourrez aussi y observer des singes, des oiseaux et des serpents.

La meilleure saison pour partir au Sri Lanka s’étend de décembre à mi-mars, mais les mois d’août et de septembre sont également envisageables.

Annoncée par le précédent gouvernement, la politique de visas gratuits d’entrée au Sri Lanka pour les touristes de 35 pays n’est pas entrée en vigueur ce 1er octobre. Récemment réactivée, l’autorisation ETA reste donc nécessaire, et payante.

En août dernier, le Sri Lanka dévoilait une nouvelle mesure visant à attirer davantage de touristes internationaux en annonçant l’entrée en vigueur d’une politique de visas gratuits pour les touristes de 35 pays à compter du 1er octobre 2024.

Très attendue par les voyageurs et l’industrie du tourisme, cette initiative n’a finalement pas vu le jour aujourd’hui…

L’annonce initiale d’une politique d’exemption de frais de visas avait suscité beaucoup d’espoir, tant chez les professionnels du tourisme que chez les visiteurs potentiels. Le Sri Lanka, confronté à une baisse du nombre de visiteurs en raison de divers facteurs (notamment la pandémie de COVID-19, des troubles politiques et la récente « crise » des visas), cherchait à relancer son secteur touristique, qui constitue une source importante de revenus pour l’économie nationale.

La mesure prévoyait la suppression des frais de visas pour les ressortissants des 35 pays suivants:

• Allemagne, Arabie saoudite, Australie, Autriche, Bahreïn, Belgique, Biélorussie, Canada, Chine, Corée du Sud, Danemark, Émirats arabes unis, Espagne, États-Unis, France, Inde, Indonésie, Iran, Israël, Italie, Japon, Kazakhstan, Malaisie, Népal, Nouvelle-Zélande, Oman, Pays-Bas, Pologne, Qatar, République tchèque, Royaume-Uni, Russie, Suède, Suisse et Thaïlande.

Sans l’approbation du nouveau parlement, pas de visas gratuits pour le Sri Lanka

Après presque 2 mois sans visa système de visa électronique actif et quelques jours après le rétablissement du précédent service d’autorisation de voyage électronique ETA, des clarifications étaient attendues ce jour de la part des autorités sri-lankaises quant à la possible gratuité des visas annoncée par l’ancien gouvernement.

Le nouvel exécutif restreint du pays tenait aujourd’hui sa première réunion du Cabinet avec seulement trois responsables présents, à savoir le président Anura Kumara Dissanayake, le Premier ministre Harini Amarasuriya et le nouveau ministre des Affaires étrangères et porte-parole du Cabinet, Vijitha Herath.

Dans son compte-rendu de la réunion de ce lundi, Vijitha Herath a expliqué pourquoi la politique de visas gratuits n’était toujours pas activée.

Le ministre a déclaré que la mise en œuvre du système offrant des visas gratuits à 35 pays a été retardée en raison de l’incapacité d’obtenir l’approbation du Parlement.

« Bien que le cabinet précédent l’ait approuvé, le Parlement a été dissous avant que la mesure ne soit approuvée », a déclaré Vijitha Herath.

Le porte-parole du Cabinet a expliqué que, puisque le Parlement n’est pas actuellement en session, des discussions sont en cours avec le Département du Procureur général pour trouver des alternatives sans Parlement en fonction.

« En conséquence, on s’attend à ce que le retard se poursuive jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée, ou que le nouveau Parlement soit convoqué », a indiqué Vijitha Herath.

Le visa ETA pour le Sri Lanka est réactivé, fonctionnel et payant (sauf pour sept pays)

Pas de visas gratuits donc pour le moment pour les touristes de ces 35 pays et les voyageurs désireux de visiter le Sri Lanka doivent toujours se conformer à l’obligation d’obtenir, et de payer, une autorisation de voyage électronique (ETA) avant leur arrivée.

Rétabli après la suspension de l’e-Visa, le système ETA permet aux visiteurs de demander une autorisation en ligne avant leur départ sur le portail www.eta.gov.lk, généralement pour un séjour touristique, d’affaires ou de transit.

L’ETA est relativement facile à obtenir, coûte 50 US$ (hors frais bancaires) et est délivrée en quelques heures.

Actuellement, seuls les citoyens de Chine, d’Inde, d’Indonésie, du Japon, de Malaisie, de Russie et de Thaïlande sont éligibles à un visa gratuit via le système ETA.

Rendez-vous donc dans les prochaines semaines pour savoir si ces sept pays qualifiés seront rejoints par d’autres nations.

Après avoir été remplacé par le visa électronique en avril dernier, lui-même suspendu depuis le 2 août, le portail de demande d’autorisation de voyage électronique ETA pour le Sri Lanka est de nouveau actif et fonctionnel.

La politique de visas gratuits annoncée par le précédent gouvernement sri-lankais n’est pas entrée en vigueur le 1er octobre (les détails ici).

Depuis quelques semaines, le Sri Lanka traverse une période difficile, notamment marquée par une crise majeure dans la gestion des visas suite à la signature d’un contrat controversé entre le précédent gouvernement sri-lankais et un consortium privé chargé de l’introduction d’un système de délivrance de visa électronique (e-Visa), en remplacement de l’ETA.

Ce contrat et le portail e-Visa ont été suspendus le 2 août dernier après que plusieurs pétitions de droits fondamentaux aient été déposées, alléguant des irrégularités dans le processus de sélection du prestataire et des impacts financiers négatifs pour le pays.

L’une des principales critiques contre cet accord était qu’il a été accordé sans appel d’offres public, ce qui a suscité des préoccupations concernant la transparence et la gestion des fonds publics. De plus, le nouveau système e-Visa www.srilankaevisa.lk imposait des frais plus élevés (jusqu’à 18,50 $ par demande) par rapport à l’ancien système ETA géré par la société publique SLTMobitel, qui ne facturait que 2 $ par demande.

Cette hausse de coût et les plaintes liées aux perturbations du nouveau système ont conduit à des tensions, notamment parmi les opérateurs touristiques locaux qui craignaient des conséquences pour l’industrie touristique, essentielle à l’économie sri-lankaise.

En réponse, la Cour Suprême a donc ordonné le retour temporaire à l’ancien système d’autorisation de voyage électronique ETA, jusqu’à ce qu’une décision finale soit rendue.

Le système ETA (enfin) de nouveau accessible

Depuis, le système ETA n’avait pas été réactivé et les voyageurs devaient obtenir leur visa à l’arrivée au Sri Lanka, créant ainsi quelques difficultés et longues attentes à l’entrée sur l’île…

Plus de 5 mois après son remplacement, suivi de presque 2 mois sans système de visa en ligne et quelques jours après l’élection d’un nouveau président en la personne d’Anura Kumara Dissanayaka, ce dernier confirme que le Sri Lanka réactive aujourd’hui son portail ETA (Electronic Travel Authorization).

« Le gouvernement a officiellement rétabli l’ancien système de délivrance de visas, à compter de minuit aujourd’hui », annonce le président sri-lankais sur X (anciennement Twitter).

Malgré quelques instabilités constatées ce jour, les touristes et voyageurs d’affaires peuvent de nouveau demander leur ETA sur le site gouvernemental eta.gov.lk.

Les experts en formalités de VisasNews ont déjà demandé et obtenu des ETA approuvés ce jour.

Le prix de l’ETA touristique s’élève à 50 US$ (hors frais bancaires). Dès son approbation, l’ETA est valable 6 mois et autorise un séjour de 30 jours avec deux entrées possible dans le pays.

Pour rappel, dans les 7 jours qui précèdent le voyage, les visiteurs doivent remplir une carte d’arrivée en ligne (Arrival Card) sur le portail eservices.immigration.gov.lk.

Ce retour au système ETA vise à rétablir un processus de demande de visa simple et transparent pour les voyageurs internationaux. Le portail ETA, qui avait été en place avant l’introduction de l’e-Visa, avait déjà fait ses preuves en offrant un service fiable et rapide pour l’obtention de visas en ligne, sans avoir recours à des prestataires externes.

Vers un accès sans visa au Sri Lanka pour les touristes de plus d’une trentaine de pays ?

Le 21 août dernier, les autorités sri-lankaises annonçaient qu’elles allaient accorder, durant 6 mois, une exemption de visa aux touristes de 35 pays, dont la France, la Belgique, le Canada ou encore la Suisse.

Le lendemain, ces dernières précisaient que cette dispense de visa allait finalement se traduire par la délivrance gratuite du visa à ces mêmes visiteurs.

Quelques jours plus tard, le dorénavant ex-ministre des Affaires étrangères, Ali Sabry, déclarait que le pays allait finalement mettre en place « avec effet immédiat » un accès sans visa au Sri Lanka pour les ressortissants de 38 pays.

Les modalités concernant une possible entrée sans visa au Sri Lanka, ainsi que la liste définitive des nationalités qualifiées, restent à ce jour non-officialisées…

L’Autorité sri-lankaise pour le développement du tourisme (SLTDA) indique que le nombre de touristes arrivés en septembre est en deçà des prévisions.

Priyantha Fernando, président de la SLTDA, a souligné que les difficultés liées à l’obtention des visas pourraient être l’une des raisons de cette baisse. Il a également expliqué que la résolution de ce problème pourrait faciliter l’atteinte de l’objectif de 2,3 millions de visiteurs en 2024.

Entre le 1er et le 17 septembre, 92 639 touristes internationaux sont arrivés dans le pays, portant ainsi le total des visiteurs à plus de 1,45 million depuis le début de l’année.

S’inspirant de Singapour, le gouvernement du Sri Lanka annonce l’entrée en vigueur immédiate d’une politique d’exemption de visa pour 38 pays.

Le portail ETA est réactivé et fonctionnel (les détails ici), mais la politique de visas gratuits annoncée par le précédent gouvernement sri-lankais n’est pas entrée en vigueur le 1er octobre (les détails ici).

S’approche-t-on d’une résolution de la « crise des visas » au Sri Lanka ? Nous l’espérons, et les touristes et professionnels du voyage également.

Depuis un mois, et la suspension de la délivrance de son visa électronique en raison de problèmes liés à la gestion du système e-Visa par un consortium étranger, le Sri Lanka fournit des visas à l’arrivée dans le pays à ses visiteurs internationaux.

Pour simplifier ses démarches d’entrée et attirer plus voyageurs, le pays dévoilait il y a quelques jours une initiative de visas gratuits pour les citoyens de 35 pays à compter du 1er octobre 2024.

Dans l’attente de savoir si cette facilité d’entrée sur l’île allait se traduire par la délivrance sans frais d’un e-Visa, d’une autorisation de voyage électronique (ETA) ou d’un visa à l’arrivée, le Sri Lanka annonce aujourd’hui une nouvelle mesure d’entrée dans le pays…

« Réduire les congestions aux guichets des visas » à l’arrivée au Sri Lanka

Sur X (anciennement Twitter), le ministre sri-lankais des Affaires étrangères, Ali Sabry, déclare ce lundi 2 septembre que « le Cabinet a autorisé le président à mettre en œuvre l’accès sans visa pour 38 nationalités avec effet immédiat, en adoptant l’approche rationalisée de Singapour ‘one chop' ».

Selon Ali Sabry, « cette décision contribuera à réduire la congestion aux guichets des visas ».

En effet, de nombreux médias sri-lankais rapportent aujourd’hui que de longues files d’attente ont été observées ces derniers jours aux guichets des visas à l’arrivée de l’aéroport international de Colombo Bandaranaike.

« Aujourd’hui, le cabinet a approuvé la mise en place d’un système à guichet unique ‘one chop’, comme à Singapour, pour les 38 pays bénéficiant d’un régime d’exemption de visa, avec effet immédiat. Il a également donné au président les pleins pouvoirs pour mener à bien cette opération, qui contribuera sans aucun doute à réduire les encombrements auxquels sont actuellement confrontés les touristes », ajoute sur X l’ancien ministre du Tourisme et conseiller présidentiel pour les affaires touristiques, Harin Fernando.

Interrogé par le Daily Mirror, Harin Fernando explique que « cela signifie que le visa a été approuvé et autorisé sans qu’il soit nécessaire d’obtenir des autorisations supplémentaires ou de suivre des procédures compliquées. Cette approche est conçue pour accélérer le processus et le rendre plus simple et plus rapide pour les demandeurs ».

38 pays finalement exemptés de visa d’entrée au Sri Lanka (?)

Peu d’informations pour l’instant sur ce prochain système « One-Chop », une procédure simplifiée notamment mise en place par Singapour pour faciliter et accélérer les formalités administratives liées à l’immigration, notamment en ce qui concerne les visas et les permis de travail. Dans le contexte des visas, « One-Chop » fait référence à un processus par lequel toutes les formalités nécessaires sont accomplies en une seule étape, souvent par une seule autorité, et aboutissent à une approbation rapide.

Alors que la précédente déclaration faisait état de 35 pays qualifiés pour la délivrance gratuite du visa, les autorités sri-lankaises annoncent donc aujourd’hui une exemption de visa pour 38 nationalités, sans précise pour l’instant quelles nations y seront éligibles.

Les 35 pays présents dans la liste initiale « étaient » les suivants:

• Allemagne, Arabie saoudite, Australie, Autriche, Bahreïn, Belgique, Biélorussie, Canada, Chine, Corée du Sud, Danemark, Émirats arabes unis, Espagne, États-Unis, France, Inde, Indonésie, Iran, Israël, Italie, Japon, Kazakhstan, Malaisie, Népal, Nouvelle-Zélande, Oman, Pays-Bas, Pologne, Qatar, République tchèque, Royaume-Uni, Russie, Suède, Suisse et Thaïlande.

Visa gratuit, exemption de formalités visa, liste définitive des pays éligibles, date précise d’entrée en vigueur de ces mesures,… plus d’informations devraient nous parvenir dans les prochains jours.