L’Australian Immi App est l’application officielle du département australien de l’Intérieur (Department of Home Affairs) destinée à la collecte d’éléments d’identité dans le cadre d’une demande de visa. Elle permet aux candidats éligibles de soumettre deux types d’informations :

• les détails du passeport (page d’identité, et éventuellement puce électronique)
• une image faciale récente, prise directement avec l’appareil photo du téléphone.

Concrètement, l’appli remplace, pour certains profils, le déplacement dans un Australian Biometrics Collection Centre (ABCC), où étaient jusqu’ici réalisés la photo et le relevé biométrique. Les autorités mettent en avant une réduction des coûts et des délais de traitement pour les demandeurs de visa, ainsi qu’une procédure jugée plus fluide.

L’Australian Immi App désormais accessible dans de nombreux pays supplémentaires

Le ministère australien de l’Intérieur a annoncé en début de semaine que l’application Australian Immi App est désormais étendue à un nouveau groupe de pays, couvrant notamment le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, l’Europe et l’Amérique latine.

Les 19 nouveaux pays éligibles sont :

• L’Algérie, l’Arabie saoudite, le Bahreïn, la Colombie, l’Égypte, les Émirats arabes unis, la France, la Grèce, l’Irak, l’Iran, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Mexique, Oman, le Pakistan, le Pérou, le Qatar et la Turquie.

Avec ces ajouts, l’Australian Immi App devient accessible dans 34 pays au total, un nombre appelé à croître jusqu’à la mise en œuvre complète du programme prévue début 2026.

Avant son élargissement récent, l’application était déjà opérationnelle dans les pays suivants :

• L’Afrique du Sud, la Corée du Sud, les Fidji, Hong Kong, les Îles Salomon, la Malaisie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Philippines, Samoa, Singapour, la Thaïlande, le Tonga, Tuvalu, le Vanuatu, ainsi que pour les ressortissants de pays tiers résidant en Nouvelle-Zélande.

Qui peut utiliser l’Australian Immi App ?

L’accès à l’application reste limité à un public bien précis. Selon le Department of Home Affairs, les candidats doivent :

• avoir déjà fourni leurs données biométriques (photo et empreintes digitales) au ministère lors d’une demande antérieure ;
• détenir un passeport en cours de validité ;
• résider dans l’un des 34 pays actuellement couverts par le dispositif, au sein du programme de collecte biométrique « offshore ».

Par ailleurs, l’utilisation de l’appli n’est possible que si le demandeur a reçu une lettre de “Requirement to provide personal identifiers (biometrics)” comportant un Visa Lodgement Number (VLN) commençant par AUI ou AUH. Si ce code ne commence pas par ces lettres, la personne doit continuer à se présenter physiquement dans un ABCC.

Les autorités rappellent que tous les demandeurs de visas ne sont pas tenus de fournir des données biométriques. La collecte est liée à la participation de leur pays au Biometrics Collection Program, qui couvre à ce stade 56 pays. Dans les États où aucun dispositif dématérialisé n’est encore en place, les candidats peuvent être amenés à se déplacer dans un pays voisin pour accéder à un centre de biométrie.

Conditions techniques : un smartphone récent et sécurisé

L’Australian Immi App est disponible gratuitement sur Apple App Store et Google Play.

Pour pouvoir l’utiliser, le téléphone doit :

• être un smartphone iOS ou Android ;
• disposer d’une connexion Internet stable (données mobiles ou Wi-Fi) ;
• autoriser l’accès à la caméra ;
• avoir la fonction NFC (Near-Field Communication) activée, pour lire la puce électronique du passeport lorsqu’elle est présente ;
• permettre l’utilisation des services de localisation par l’application.

Les autorités précisent que la compatibilité de l’appareil peut être vérifiée via les informations techniques affichées sur les boutiques d’applications.

Une procédure en cinq étapes sur smartphone

Le ministère décrit un parcours en cinq étapes à suivre dans l’application :

1. Saisir le Visa Lodgement Number (VLN)
   • Le code figure sur la lettre de demande de biométrie.
   • Il peut être saisi manuellement ou lu via le code-barres présent sur le courrier.
   • Chaque membre d’une famille dispose de son propre VLN.
2. Scanner la page d’identité du passeport
   • L’utilisateur ouvre son passeport à la page de données personnelles.
   • Il positionne son téléphone au-dessus de la page pour que l’intégralité de celle-ci, y compris les lignes de codes MRZ en bas, soit capturée.
   • L’application indique quand le cadrage est correct et valide le scan.
3. Lire la puce électronique, si le passeport en est doté
   • Si le passeport comporte le symbole e-passeport, le téléphone doit être posé directement sur la couverture pour que la puce soit lue via NFC.
   • L’écran affiche une barre de progression ou un message de lecture, et recommande de ne pas bouger l’appareil pendant l’opération.
4. Vérifier et confirmer les informations du passeport
   • Les données extraites (nom, date de naissance, numéro de passeport, etc.) s’affichent à l’écran.
   • Le demandeur doit vérifier leur exactitude et relancer un scan en cas d’erreur.
5. Prendre et soumettre la photo du demandeur
   • L’utilisateur doit se placer devant un fond clair, sans objets visibles derrière lui.
   • Son visage doit être centré dans l’ovale affiché à l’écran, yeux ouverts, regard face caméra, sans lunettes si possible.
   • L’application capture automatiquement la photo lorsque la position est jugée correcte. Plusieurs tentatives sont possibles.

Une fois ces étapes terminées, l’utilisateur peut saisir une adresse e-mail s’il souhaite recevoir une confirmation de soumission.

À la validation finale, l’Australian Immi App transmet les détails du passeport et les images faciales directement au Department of Home Affairs. Les autorités australiennes affirment que :

• les données ne sont pas conservées dans l’application après l’envoi ;
• en cas d’erreur de transmission, l’appli invite l’utilisateur à recommencer la capture ;
• une fois la procédure finalisée, l’espace en ligne du demandeur (ImmiAccount) doit être mis à jour dans un délai d’environ 24 heures.

Si des informations complémentaires sont nécessaires, le ministère indique qu’il contactera directement le demandeur pour lui fournir de nouvelles instructions, qui peuvent inclure, le cas échéant, un passage en centre de biométrie.

Quel impact pour les centres de collecte biométrique australiens ?

L’élargissement de l’Australian Immi App ne supprime pas les Australian Biometrics Collection Centres, mais en réduit l’usage pour certains profils de candidats.

• Les personnes éligibles à l’application peuvent accomplir la partie biométrique à distance et ne plus se rendre en centre, sauf en cas de demande particulière des autorités.
• Les autres demandeurs, par exemple ceux dont le VLN ne commence pas par AUI ou AUH, ou qui n’ont jamais fourni de biométrie, doivent toujours passer par un ABCC. Dans certains pays, cela peut impliquer un déplacement dans un État voisin.

Cette coexistence des deux dispositifs illustre une phase de transition, le temps que la collecte biométrique dématérialisée soit étendue à l’ensemble du programme.

Voyager en Australie sans visa : eVisitor et ETA restent inchangés

L’extension de l’Australian Immi App n’a pas d’incidence sur les dispositifs permettant de voyager en Australie sans visa traditionnel, à savoir l’eVisitor (subclass 651) et l’Electronic Travel Authority – ETA (subclass 601). Ces autorisations de voyage électroniques, destinées aux voyageurs exemptés de visa australien pour des courts séjours touristiques ou professionnels, s’obtiennent sans collecte biométrique préalable.

L’eVisitor, gratuit, est réservé aux ressortissants de l’Union européenne et de quelques pays européens associés. Il s’effectue entièrement en ligne via un ImmiAccount.

L’ETA, elle, est accessible via une application mobile dédiée à certaines nationalités, principalement celles de partenaires proches de l’Australie, comme les États-Unis, le Canada, le Japon ou encore la Corée du Sud.

Dans les deux cas, les voyageurs concernés n’ont pas à utiliser l’Australian Immi App, ni à se rendre dans un centre de biométrie.

Ces deux régimes demeurent donc indépendants du programme de collecte biométrique « offshore » et continuent de constituer la voie privilégiée pour les touristes et voyageurs d’affaires éligibles souhaitant entrer rapidement en Australie.

L’Autorité de l’Immigration et de la Citoyenneté (ICA) de Papouasie-Nouvelle-Guinée annonce l’introduction, dès le 1er octobre 2025, d’une carte d’arrivée numérique nommée « PNG Digital Arrival Card (PNG DAC) », qui remplacera définitivement le formulaire papier remis traditionnellement aux passagers avant l’atterrissage.

Cette transition vers le numérique s’inscrit dans une tendance observée dans plusieurs pays de la région Asie-Pacifique, notamment en Nouvelle-Zélande ou, plus récemment, au Laos et en Indonésie, où la dématérialisation des procédures aux frontières est devenue un levier d’efficacité et de sécurité.

En plus de réduire l’usage du papier, la PNG DAC doit permettre un meilleur traitement des données en amont, une diminution des files d’attente aux comptoirs d’immigration et une expérience de voyage jugée plus fluide.

« La Papouasie-Nouvelle-Guinée adopte de nouveaux systèmes numériques afin de renforcer la sécurité à ses frontières et de faciliter votre voyage », explique l’ICA.

Comment remplir la PNG DAC ?

Le site officiel pngdac.ica.gov.pg sera mis en ligne le 27 septembre 2025, soit quelques jours avant l’entrée en vigueur de l’obligation de remplir une carte d’arrivée numérique. Cette ouverture anticipée doit permettre aux voyageurs de se familiariser avec la plateforme et d’effectuer leurs démarches avant leur départ.

Selon les autorités papouasiennes, la déclaration numérique suit un processus en quatre étapes :

1. Accédez au site web et créer votre demande au plus tôt trois jours avant l’arrivée en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
2. Renseignez les informations personnelles et de voyage (vol, date d’arrivée, déclarations). Une option permet de prendre en photo la page biographique du passeport pour préremplir automatiquement certains champs.
3. Ajoutez les informations des accompagnants (famille ou compagnons de voyage) si nécessaire.
4. Soumettez la demande. Une confirmation est envoyée par e-mail, à télécharger et présenter à l’arrivée.

En cas de modification des informations avant le départ, il suffira de retourner sur le site pour mettre à jour la fiche. « C’est facile, n’est-ce pas ? » commente l’ICA.

La Papouasie-Nouvelle-Guinée « fait un pas de plus vers un avenir connecté numériquement »

En présentant cette réforme, les autorités soulignent leur volonté d’améliorer l’expérience des passagers.

« En introduisant la PNG DAC, la Papouasie-Nouvelle-Guinée fait un pas de plus vers un avenir connecté numériquement pour rendre les voyages plus efficaces, tout en assurant la sécurité de nos frontières », indique l’ICA. L’Autorité ajoute que les agences frontalières « s’efforcent de garantir que votre arrivée se déroule en toute sécurité, dans un accueil chaleureux et sans encombre ».

La PNG DAC ne remplace pas les conditions d’entrée existantes.

Les voyageurs restent soumis à l’obligation d’obtenir un visa électronique (e-Visa), qui constitue l’autorisation préalable d’entrée sur le territoire. La carte d’arrivée numérique vient en complément, en centralisant les informations de voyage et en fluidifiant les contrôles à l’arrivée.

Certaines nationalités bénéficient toutefois d’un régime particulier : les citoyens du Canada, des États fédérés de Micronésie, de Fidji, de Guam, des Îles Cook, des Îles Mariannes du Nord, des Îles Marshall, des Îles Salomon, d’Israël, de Kiribati, de Nauru, de Niué, de Nouvelle-Calédonie, de Palau, de la Polynésie française (Tahiti), du Royaume-Uni, des Samoa, des Samoa américaines, de Singapour, de Tokelau, de Tonga, de Tuvalu, du Vanuatu et de Wallis-et-Futuna peuvent, s’ils voyagent avec un passeport ordinaire, obtenir un visa à l’arrivée en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

La New Zealand Electronic Travel Authority (NZeTA) est une autorisation électronique que doivent obtenir les voyageurs de certains pays avant d’entrer en Nouvelle-Zélande.

Elle s’adresse aux ressortissants de pays bénéficiant d’une exemption de visa, mais aussi aux passagers en transit par Auckland.

Conçue pour simplifier les formalités et renforcer la sécurité des frontières, cette procédure en ligne s’impose désormais comme un passage obligé pour une grande partie des visiteurs.

C’est dans ce cadre que les autorités néo-zélandaises ont récemment annoncé de nouvelles mesures, à commencer par un assouplissement destiné aux voyageurs originaires du Pacifique.

NZeTA : conditions assouplies pour les voyageurs du Pacifique en provenance d’Australie…

À compter du 3 novembre 2025, la Nouvelle-Zélande lancera un essai d’une durée de 12 mois visant à faciliter les déplacements des ressortissants des pays membres du Forum des îles du Pacifique.

Concrètement, ces visiteurs pourront voyager depuis l’Australie vers la Nouvelle-Zélande sans visa, à condition de demander une NZeTA à partir du 27 octobre 2025.

« Au lieu de demander un visa, les personnes possédant un visa australien valide et éligible pourront se rendre en Nouvelle-Zélande avec une autorisation de voyage électronique néo-zélandaise (NZeTA) et y séjourner jusqu’à trois mois », annonce aujourd’hui l’immigration néo-zélandaise.

Les pays suivants, membres du Forum des îles du Pacifique, sont concernés par cette mesure :

• Fidji, Îles Marshall, Îles Salomon, Kiribati, Micronésie (États fédérés), Nauru, Palaos, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Samoa, Tonga, Tuvalu et Vanuatu.

Les visas australiens éligibles sont les suivants :

• UR160 : Business Owner (provisional), UR161 : Senior Executive (provisional), UR162 : Investor (provisional), UR163 : State/Territory Sponsored Business Owner (provisional), UR164 : State/Territory Sponsored Senior Executive (provisional), UR165 : State/Territory Sponsored Investor (provisional), UT173 : Contributory Parent (temporary), EB188 : Business, Innovation and Investment (provisional), TO300 : Prospective marriage, UF309 : Partner (provisional) visa, GA400 : Temporary work (short stay specialist), UY405 : Investor retirement, GF407 : Training, TQ410 : Retirement, TZ417 : Working Holiday, TK445 : Dependent Child visa, UP461 : New Zealand citizen family relationship, US462 : Work and Holiday, UC457 : Business (long stay), VF476 : Skilled – Recognised Graduate, GK482 : Skills in Demand, VC485 : Temporary Graduate visa, SP489 : Skilled Regional (provisional), PS491 : Skilled Work Regional (provisional), PE494 : Skilled Employer Sponsored Regional (provisional), TU500 : Student, TU590 : Student Guardian, FA600 : Visitor, TV651 : e-Visitor, UK820 : Partner Visa (temporary), GH870 : Sponsored Parent et UU884 : Contributory Aged Parent.

… ainsi que pour les citoyens chinois

Dès novembre prochain, la Nouvelle-Zélande appliquera un dispositif expérimental similaire pour les citoyens chinois.

Eux aussi pourront entrer dans le pays sans visa depuis l’Australie, dans le cadre d’un essai de douze mois.

« À partir du 3 novembre 2025, les personnes titulaires d’un passeport chinois pourront se rendre en Nouvelle-Zélande depuis l’Australie sans visa », déclare également ce jour l’immigration néo-zélandaise.

Comme pour les ressortissants du Pacifique, cette possibilité restera conditionnée à l’obtention préalable d’une NZeTA et à la présentation d’un visa australien valide et éligible (liste identique à celle présentée plus haut).

NZeTA : une formalité incontournable pour les voyageurs exemptés de visa en Nouvelle-Zélande

Qu’ils soient ressortissants des pays du Forum des îles du Pacifique, citoyens chinois bénéficiant du nouvel essai, ou d’un pays exemptés de visa, tous les voyageurs doivent obligatoirement obtenir une NZeTA avant de se rendre en Nouvelle-Zélande.

Cette autorisation de voyage électronique s’accompagne du paiement de l’International Visitor Conservation and Tourism Levy (IVL), une taxe destinée à financer la préservation de l’environnement et les infrastructures touristiques, dont le montant a été relevé l’année dernière.

La demande de NZeTA s’effectue en ligne, via le site officiel nzeta.immigration.govt.nz ou par l’application mobile dédiée (iOS | Android). Les voyageurs renseignent leurs informations personnelles et les données de leur passeport, répondent à quelques questions de sécurité, téléchargent une photo d’identité/selfie puis règlent les frais correspondants.

Les autorités recommandent d’entamer cette démarche au moins 72 heures avant le départ, même si l’autorisation peut être délivrée plus rapidement.

Une fois accordée, la NZeTA est valable deux ans, tant que le passeport utilisé reste valide. Elle permet plusieurs entrées sur le territoire néo-zélandais au cours de cette période, dans la limite de la durée de séjour autorisée pour chaque catégorie de visiteurs.

En complément, tous les passagers doivent remplir, au plus tôt 24 heures avant l’arrivée en Nouvelle-Zélande, une New Zealand Traveller Declaration (NZTD). Ce formulaire électronique, distinct de la NZeTA, sert à fournir des informations sanitaires, douanières et de sécurité, et doit être présenté à l’arrivée pour faciliter les contrôles frontaliers.

Le 26 mai dernier, le Service des douanes de Nouvelle-Zélande a annoncé l’ouverture de ses bornes automatisées eGates à 11 nouveaux pays et territoires, portant ainsi à 48 le nombre total de nations éligibles. Cette expansion vise à renforcer l’efficacité des contrôles aux frontières et à offrir une expérience d’entrée plus fluide pour les voyageurs internationaux.

Les nouveaux pays et territoires ajoutés sont : Andorre, Islande, Liechtenstein, Monaco, Norvège, Vatican, Macao, Bahreïn, Koweït, Oman et les Émirats arabes unis.

Cette décision fait suite à une période d’essai réussie, durant laquelle les douanes ont collaboré avec l’immigration néo-zélandaises pour s’assurer que les passeports électroniques de ces pays répondent aux exigences technologiques et de sécurité biométrique nécessaires.

70 % des passagers à l’arrivée et au départ sont actuellement traités par les eGates en Nouvelle-Zélande

« À mesure que nous ouvrons les eGates de la Nouvelle-Zélande à d’autres pays, davantage de voyageurs pourront accéder à un parcours en libre-service, tant à l’arrivée qu’au départ. Nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux détenteurs de passeports éligibles et les encourageons à essayer nos eGates », déclare Paul Williams, le directeur par intérim des opérations frontalières.

Le responsable souligne qu’environ 70 % des passagers à l’arrivée et au départ sont actuellement traités par les eGates en Nouvelle-Zélande, un chiffre révélateur de l’importance croissante de cette technologie dans la gestion des flux frontaliers.

Williams a également indiqué que l’utilisation des eGates, combinée à d’autres options numériques telles que la déclaration de voyage en Nouvelle-Zélande (New Zealand Traveller Declaration ou NZTD), contribuera à réduire les temps de contrôle dans les terminaux aéroportuaires, facilitant ainsi le passage des voyageurs à travers la sécurité frontalière.

eGates en Nouvelle-Zélande : conditions d’utilisation et pays éligibles

Les eGates sont disponibles dans les aéroports internationaux d’Auckland, Wellington, Christchurch et Queenstown. Pour les utiliser, les voyageurs doivent être âgés de 10 ans ou plus, posséder un passeport électronique (ePassport) valide et avoir complété la New Zealand Traveller Declaration (NZTD) avant leur arrivée.

Les pays éligibles sont les suivants:

• Océanie : Nouvelle-Zélande, Australie;
• Europe : Andorre, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Monaco, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Vatican;
• Asie : Chine (hors Hong Kong), Corée du Sud, Japon, Macao, Singapour;
• Amérique du Nord : Canada, États-Unis;
• Moyen-Orient : Bahreïn, Émirats arabes unis, Koweït, Oman.

La technologie eGate utilise la biométrie pour comparer la photo du visage dans le passeport électronique avec celle prise sur place à l’arrivée. Pour que le système fonctionne correctement, il est important de ressembler autant que possible à la photo présente dans le passeport.

Il faut éviter de porter des accessoires qui cachent une partie du visage, comme des voiles, des écharpes ou des chapeaux. Les lunettes peuvent être gardées uniquement si elles sont portées sur la photo du passeport et si elles ont une monture fine. Le système peut gérer certains changements mineurs, comme une variation de poids ou une nouvelle coiffure.

NZTD : la déclaration numérique obligatoire pour tous les voyageurs en Nouvelle-Zélande

Depuis août 2023, tous les voyageurs entrant en Nouvelle-Zélande doivent remplir une New Zealand Traveller Declaration (NZTD). Cette déclaration numérique remplace la carte d’arrivée papier et collecte des informations sur le voyage, les biens importés et l’état de santé du voyageur. Elle peut être complétée en ligne via le site travellerdeclaration.govt.nz ou via l’application « NZTD » accessible sur l’App Store et Google Play.

Les voyageurs doivent soumettre leur déclaration avant d’atteindre le contrôle des passeports en Nouvelle-Zélande. En avril 2024, la NZTD a été étendue aux arrivées maritimes.

NZeTA : l’autorisation de voyage électronique pour les ressortissants de pays exemptés de visa en Nouvelle-Zélande

Les ressortissants de pays exemptés de visa doivent obtenir une New Zealand Electronic Travel Authority (NZeTA) avant de voyager en Nouvelle-Zélande.

Cette autorisation est valable pour plusieurs entrées sur une période de deux ans et peut être demandée en ligne sur le portail : nzeta.immigration.govt.nz ou depuis l’application mobile « NZeTA » disponible sur l’App Store et Google Play.

La Nouvelle-Zélande a récemment ajusté les frais liés à la NZeTA, en fonction du mode de soumission de la demande. Voici un récapitulatif détaillé :

D’ici la mi-septembre, les Îles Cook lanceront un système de demande de visa électronique et de permis de séjour en ligne dans le but de simplifier leurs formalités de voyage.

Dans un mouvement stratégique qui reflète à la fois une volonté de modernisation et une ambition de dynamiser son économie touristique, les Îles Cook sont en passe de franchir une étape cruciale avec l’introduction prochaine d’un système de visa électronique (e-Visa) et de permis de séjour en ligne.

Cette petite nation du Pacifique, renommée pour ses plages de sable blanc, ses lagons turquoise et son atmosphère de paradis préservé, se dotera d’ici la mi-septembre 2024 d’un outil qui pourrait transformer la façon dont les voyageurs long séjour accèdent à ses joyaux naturels.

Le ministère cookien des Affaires étrangères a récemment annoncé que ce nouveau système de demande de visa et de permis en ligne était une « initiative visant à moderniser les services d’immigration et les clients verront un passage progressif du processus manuel actuel aux demandes en ligne ».

Selon les autorités, ce changement réduira considérablement la nécessité pour les parties prenantes et les clients de demander un rendez-vous au bureau avec un agent d’immigration.

Un e-Visa aux Îles Cook pour « améliorer l’expérience utilisateur »

« Le passage inévitable à une plateforme en ligne améliorera l’expérience utilisateur et la commodité de soumission des demandes de parrainage et de visa », a déclaré Chere Arthur, la responsable en chef de l’immigration des Îles Cook.

« En plus du processus de demande simplifié, il existe un tableau de bord convivial où les demandeurs peuvent surveiller leurs demandes en attente, télécharger les approbations de visa, les reçus et les factures », ajoute la cheffe de l’immigration.

Le service d’immigration des Îles Cook mène actuellement des tests internes avec ses agents, leur offrant une présentation globale du nouveau système et recueillant leurs retours et suggestions afin de contribuer à l’amélioration finale du système.

Les Îles Cook, un pays sans visa pour tous les touristes court séjour

L’une des caractéristiques attrayantes des Îles Cook est leur politique d’exemption de visa.

Les visiteurs en provenance de tous les pays du monde n’ont pas besoin de visa pour entrer aux Îles Cook pour des séjours touristiques d’une durée allant jusqu’à 31 jours.

Cette exemption rend la destination particulièrement accessible et simplifie les préparatifs de voyage. À leur arrivée, les visiteurs se voient accorder une autorisation d’entrée gratuite pour un mois, ce qui leur permet d’explorer librement l’archipel pendant cette période.

Pour les visiteurs qui souhaitent prolonger leur séjour au-delà de 31 jours, les autorités des Îles Cook permettent des extensions de visa. Il est possible de demander une prolongation de séjour en déposant une demande auprès du département de l’immigration de l’archipel. Chaque prolongation est généralement accordée pour une période supplémentaire de 31 jours, avec une limite maximale de 6 mois pour les visiteurs non-résidents.

Il est recommandé d’entamer cette démarche avant l’expiration du premier mois d’autorisation pour éviter des complications ou des pénalités. La demande de prolongation nécessite le paiement de frais s’élevant à 470,00 NZ$ et la fourniture de certains documents, tels qu’un formulaire, un billet de sortie valide et une preuve de fonds suffisants pour la durée prolongée du séjour.

Les experts formalités de VisasNews conseillent aux voyageurs qui envisagent de visiter la Nouvelle-Zélande dans les prochains mois de rapidement demander leur autorisation de voyage électronique NZeTA car son prix va plus que doubler…

En effet, à partir du 1er octobre 2024, la Nouvelle-Zélande augmentera le coût de sa taxe touristique, connue sous le nom de International Visitor Conservation and Tourism Levy (IVL) et incluse dans les frais de NZeTA, de 35 dollars néo-zélandais (NZ$) à 100 NZ$.

« La taxe internationale pour la conservation et le tourisme (IVL) sera augmentée à 100 $ afin de garantir que les visiteurs contribuent aux services publics et aux expériences de haute qualité lors de leur séjour en Nouvelle-Zélande », ont annoncé dans un communiqué le ministre du Tourisme et de l’Hôtellerie, Matt Doocey, et le ministre de la Conservation, Tama Potaka.

Cette hausse significative vise à mieux financer la préservation de l’environnement naturel du pays ainsi que les infrastructures touristiques, en réponse à la croissance continue du nombre de visiteurs internationaux.

« L’IVL a été introduit en 2019 comme mécanisme pour garantir que les visiteurs internationaux contribuent directement à ces coûts, dont la grande majorité est payée par les contribuables et les contribuables néo-zélandais », explique Matt Doocey.

Selon le ministre du Tourisme, « une consultation publique menée par le ministère de l’Innovation et de l’Emploi (MBIE) a révélé que 93 % des participants étaient favorables à une augmentation de l’IVL, la principale raison étant qu’une augmentation serait raisonnable pour aider à couvrir les coûts du tourisme ».

Le coût de la taxe touristique « reste compétitif par rapport à des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni »

« Le nouvel IVL reste compétitif par rapport à des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni, et nous sommes convaincus que la Nouvelle-Zélande continuera d’être considérée comme une destination touristique attrayante par de nombreux visiteurs dans le monde », affirme Matt Doocey.

Le ministre ajoute qu’« un IVL de 100 $ représenterait généralement moins de 3 % des dépenses totales d’un visiteur international lors de son séjour en Nouvelle-Zélande, ce qui signifie qu’il est peu probable qu’il ait un impact significatif sur le nombre de visiteurs ».

« L’augmentation de l’IVL signifie que nous pouvons continuer à développer le tourisme international pour soutenir la croissance économique tout en garantissant que les visiteurs internationaux contribuent à des zones et projets de conservation de grande valeur, tels que le soutien de la biodiversité dans les parcs nationaux et autres zones très visitées et l’amélioration de l’expérience des visiteurs sur les terres publiques de conservation », déclare enfin Matt Doocey.

Le prix de l’autorisation de voyage électronique en Nouvelle-Zélande (NZeTA) revu à la hausse

L’augmentation de la taxe IVL affectera directement le coût total de l’autorisation de voyage électronique NZeTA (New Zealand Electronic Travel Authority), requise pour les voyageurs exemptés de visa entrant en Nouvelle-Zélande, les frais de cette contribution au tourisme local étant inclus dans cette démarche en ligne.

Dès le 1er octobre 2024, un voyageur utilisant l’application mobile officielle (App Store | Google Play Store) pour demander son autorisation de voyage électronique pour la Nouvelle-Zélande devra payer 117 NZ$ (soit environ 66 €), contre 52 NZ$ actuellement; tandis qu’une demande réalisée sur Internet coutera 123 NZ$ (soit presque 69 €), contre 58 NZ$ en ce moment.

Les ressortissants des pays suivants sont exemptés de visa d’entrée en Nouvelle-Zélande mais doivent demander une NZeTA, et donc payer la taxe touristique IVL, avant de voyager dans le pays:

• Allemagne, Andorre, Arabie saoudite, Argentine, Autriche, Bahreïn, Belgique, Brésil, Brunei, Bulgarie, Canada, Chili, Chypre, Corée du Sud, Croatie, Danemark, Émirats arabes unis, Espagne, Estonie, États-Unis, Finlande, France, Grèce, Hong Kong, Hongrie, Irlande, Islande, Israël, Italie, Japon, Koweït, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Macao, Malaisie, Malte, Maurice, Mexique, Monaco, Norvège, Oman, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Qatar, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Saint-Marin, Seychelles, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Taïwan, Uruguay et Vatican.

Sont exemptés de paiement de la taxe IVL:

• les passagers en transit à l’aéroport d’Auckland;
• les détenteurs de passeports néo-zélandais, australiens ou de nombreux pays insulaires du Pacifique;
• les titulaires de visa de résident en Nouvelle-Zélande ou en Australie;
• les titulaires d’un visa de visiteur d’affaires ou d’une carte de voyage d’affaires APEC.

L’IATA déçue de cette augmentation du prix de la taxe touristique en Nouvelle-Zélande…

Cette décision a suscité diverses réactions parmi les acteurs du secteur touristique. Certains opérateurs craignent que l’augmentation de la taxe IVL puisse dissuader les visiteurs potentiels, en particulier ceux qui voyagent avec un budget limité.

L’Association du Transport Aérien International (IATA) exprime aujourd’hui sa « déception » suite à la décision du gouvernement néo-zélandais d’augmenter le prix de la taxe IVL…

« Le secteur du tourisme et des voyages en Nouvelle-Zélande a été doublement touché, à commencer par l’annonce par les services d’immigration néo-zélandais d’une forte augmentation des frais de visa, et maintenant par l’augmentation de l’IVL. Ces changements rendent les voyages en Nouvelle-Zélande plus chers et moins attrayants et pourraient encore retarder la reprise du nombre de visiteurs au-delà de 2026 », déclare Xie Xingquan, vice-président régional par intérim de l’IATA pour l’Asie du Nord et l’Asie-Pacifique.

Citant l’exemple de la Thaïlande qui a récemment renoncé à instaurer sa propre taxe touristique, Xie Xingquan explique que « le secteur du tourisme et des voyages contribue de manière importante à l’économie néo-zélandaise. L’analyse du gouvernement a montré que pour chaque dollar généré par les recettes supplémentaires de l’IVL, l’activité économique du pays serait trois fois plus importante. Au lieu d’étouffer son développement, le gouvernement devrait chercher des moyens d’améliorer la compétitivité du pays en tant que destination par rapport à d’autres marchés ».

Lors du processus de consultation publique sur l’IVL, l’IATA avait présenté une proposition demandant instamment que cette taxe ne soit pas augmentée. « Malheureusement, le gouvernement a annoncé l’augmentation de la taxe et son application dans le budget 2024 alors que le processus de consultation était toujours en cours, jetant le doute sur l’efficacité du processus », déplore Xie Xingquan.

La Nouvelle-Zélande s’apprête à numériser ses formalités de visa de transit dès le 12 août 2024.

« À partir du 12 août 2024, les voyageurs ayant besoin d’un visa de transit pour la Nouvelle-Zélande peuvent en faire la demande en ligne en utilisant le système d’immigration en ligne amélioré », annonce l’immigration néo-zélandaise.

Les personnes demandant un visa de transit n’auront plus besoin de soumettre de demandes papier via les centres de demande de visa, offrant ainsi « une expérience plus rationalisée et efficace en supprimant les frais associés à la soumission via un centre de demande de visa ».

L’immigration néo-zélandaises précisent tout de même que les ressortissants chinois demandeurs de visas de transit collectifs doivent continuer à utiliser le processus de demande sur papier. « Nous travaillerons bientôt sur une solution en ligne pour cette catégorie », explique les autorités.

Depuis janvier dernier, les immigrants sollicitant un visa de Résident Permanent peuvent également le faire en ligne depuis le portail d’immigration en ligne: www.immigration.govt.nz.

Les Fidjiens en transit exemptés de visa et donc éligibles à la NZeTA

Dès le 4 septembre 2024, les Fidji seront ajoutés à la liste des pays exemptés de visa de transit. Cela permettra aux ressortissants fidjiens de demander une autorisation de voyage électronique NZeTA au lieu d’un visa de transit.

« Si vous disposez déjà d’un visa de transit approuvé, il restera valable jusqu’à sa date d’expiration, même après l’entrée en vigueur de la dérogation », indique l’immigration néo-zélandaise.

Les ressortissants fidjiens qui ont l’intention de visiter, d’étudier ou de travailler en Nouvelle-Zélande devront toujours demander le visa approprié avant de voyager.

Les citoyens fidjiens voyageant depuis ou vers Fidji via Wellington ou Christchurch sur Fiji Airways devront toujours demander un visa de visiteur, car il n’y a pas d’installations de transit dans ces aéroports.

Une autorisation NZeTA est nécessaire pour transiter à l’aéroport international d’Auckland

Les voyageurs exemptés de visa de visite ou de transit en Nouvelle-Zélande et souhaitant se rendre ou transiter dans le pays par l’aéroport international d’Auckland doivent demander une autorisation de voyage électronique NZeTA sur le portail: nzeta.immigration.govt.nz.

Dans sa communication, l’immigration néo-zélandaise rappelle que les frais d’obtention d’une autorisation NZeTA s’élèvent à 23,00 NZD, pour les demandes réalisées sur Internet, ou 17,00 NZD pour les demandes soumises via l’application mobile.

La plupart des demandes de NZeTA sont traitées dans un délai de 72 heures. L’autorisation NZeTA est valable 2 ans et autorise plusieurs voyages de 90 jours en Nouvelle-Zélande.

Dans les 24 heures qui précèdent l’arrivée en Nouvelle-Zélande, les voyageurs aériens et maritimes doivent remplir une déclaration numérique de voyage NZTD (New Zealand Traveller Declaration) sur le site: www.travellerdeclaration.govt.nz.

Les pays exemptés de visa de visite en Nouvelle-Zélande:

Les pays exemptés de visa de transit en Nouvelle-Zélande:

Les touristes pourront prochainement demander un visa électronique (e-Visa) pour voyager au Vanuatu.

Le Vanuatu, archipel composé de 83 îles situé dans le Pacifique Sud, s’apprête à franchir une étape majeure dans l’accueil de ses visiteurs avec le lancement imminent de son visa électronique (e-Visa).

Ce prochain système vise à moderniser les infrastructures de l’archipel, stimuler son secteur touristique et simplifier le processus d’obtention de visa, le rendant plus accessible et efficace pour les voyageurs internationaux.

Le visa électronique présente de nombreux avantages, tant pour les voyageurs que pour les autorités locales:

• Pour les visiteurs, il offre une procédure de demande simplifiée qui peut être complétée en ligne, évitant ainsi les longs déplacements et les files d’attente dans les ambassades ou les consulats.
• Pour le gouvernement de Vanuatu, ce système permet une gestion plus efficace des flux de touristes et une meilleure sécurité grâce à une vérification préalable des demandes.

À quoi s’attendre avec le visa électronique d’entrée au Vanuatu ?

Le Département vanuatais de l’Immigration et des Services de Passeport présente les prochains avantages de l’e-Visa sur son portail immigration.gov.vu/online-application:

• Interface conviviale : Naviguez facilement dans le processus de candidature, grâce à une conception intuitive et conviviale.
• Soumission efficace des documents : rationalisez le processus de candidature en téléchargeant et en soumettant facilement les documents requis en ligne.
• Mises à jour en temps réel : restez informé de l’état de votre demande grâce à des notifications instantanées à chaque étape du traitement.
• Accessibilité 24h/24 et 7j/7 : demandez votre visa à tout moment qui vous convient, éliminant ainsi les contraintes des heures de bureau traditionnelles.

Vanuatu: l’e-Visa développé par l’OIM grâce au système MIDAS

« En coordination avec l’équipe MIDAS de l’OIM à Genève, l’OIM Vanuatu a organisé pour le personnel de l’immigration de Vanuatu des formations sur la fonctionnalité et la personnalisation de l’e-Visa de MIDAS. L’e-Visa est une étape essentielle pour la gestion des frontières et le traitement des visas. Restez à l’écoute du nouveau site Web eVisa ! », annonce l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) sur X.

L’OIM, qui a été créée en 1951 et fait partie du système des Nations Unies, est l’organisation intergouvernementale chef de file dans le domaine de la migration.

Développé en 2009 par l’OIM, MIDAS, pour Migration Information and Data Analysis System, est un système d’information pour la gestion des frontières de très grande qualité, doté d’une interface conviviale et totalement adaptable pour des États ayant besoin d’une solution globale et efficace à moindre coût.

Actuellement opérationnel dans des pays en Afrique, en Asie ainsi qu’en Amérique, le système MIDAS a été conçu pour être conforme aux standards internationaux (ICAO et ISO).

Capable de collecter, traiter, stocker et analyser les informations voyageurs en temps réel et à travers un réseau entier de frontières, MIDAS permet aux pays de contrôler plus efficacement ceux qui entrent et quittent leurs territoires, en offrant de surcroît une base statistique fiable pour conduire leurs politiques migratoires.

L’OIM garantit que les gouvernements aient la propriété totale et exclusive de toutes les données enregistrées par MIDAS.

Étant donné le statut d’organisation à but non lucratif de l’OIM, MIDAS est une alternative d’un meilleur rapport qualité-prix que les options commerciales offertes, plus chères. L’OIM fournit une expertise-conseil tout au long du processus d’installation, incluant des prestations d’ateliers de formation à l’administration de systèmes, ainsi qu’une assistance post-installation pour garantir la fiabilité du système MIDAS dans le temps.

Le visa touristique pour le Vanuatu

Le visa touristique pour le Vanuatu est conçu pour les voyageurs de courte durée ayant l’intention réelle de visiter le pays à des fins touristiques, de loisirs ou de visites sociales.

Ce visa est assorti de conditions spécifiques, dont un séjour maximal de 120 jours sans possibilité de prolongation.

Les titulaires de visa ne sont pas autorisés à exercer des activités commerciales, professionnelles ou professionnelles et doivent quitter le pays avant l’expiration de la validité de 120 jours.

Les visas touristiques peuvent être obtenus à l’arrivée, pour les voyageurs en provenance de pays exemptés, ou via un processus de demande pré-approuvée, pour ceux en provenance de pays non exemptés.

Les frais de demande de visa touristique pour le Vanuatu pour les pays non exemptés sont de 5 000 VT, soit environ 39 €.

Les pays dont les citoyens obtiennent un visa gratuit à l’arrivée au Vanuatu

Les pays dont les citoyens doivent obtenir un visa avant d’arriver au Vanuatu

Les voyageurs internationaux arrivant en Nouvelle-Zélande par voie maritime n’ont plus besoin de remplir une déclaration sur papier, l’option numérique étant désormais disponible en ligne.

La New Zealand Traveller Declaration (NZTD) permet de recueillir des informations sur l’arrivée à des fins de biosécurité pour les douanes, l’immigration et le ministère des industries primaires, ainsi que des informations sur la santé des voyageurs.

Elle est désormais pleinement utilisée par les voyageurs aériens et maritimes arrivant à Aotearoa, nom maori de la Nouvelle-Zélande, y compris les passagers et membres d’équipage des navires de croisière internationaux.

L’extension aux navires de croisière est intervenue après que l’option numérique a été mise à la disposition des voyageurs aériens en août 2023.

La NZTD « offre aux voyageurs une expérience plus souple et rationalisée » aux frontières de la Nouvelle-Zélande

Sharon May, la directrice générale adjointe des douanes pour les finances, la technologie et l’infrastructure, a déclaré que « la déclaration en ligne offre aux voyageurs une expérience plus souple et rationalisée à la frontière ».

« Après des essais concluants, l’ajout récent des passagers des navires de croisière au système NZTD est la dernière étape de la transition de la Nouvelle-Zélande vers un système numérique de déclaration d’arrivée, marquant une étape majeure vers des voyages plus fluides à travers les frontières. La NZTD permet aux agences frontalières de collecter plus rapidement les informations dont elles ont besoin et d’évaluer plus tôt les informations relatives aux passagers afin de simplifier leur arrivée, tout en aidant les agences à gérer les processus frontaliers et les risques de manière plus efficace et efficiente », explique Sharon May.

Le directeur général adjoint de Biosecurity New Zealand, Stuart Anderson, a déclaré que la biosécurité était d’une importance capitale pour la biodiversité et l’économie de la Nouvelle-Zélande.

« Nous nous efforçons toujours d’améliorer les contrôles aux frontières que nous utilisons pour protéger notre environnement naturel et nos industries primaires, et la NZTD nous permet de renforcer ces processus aux frontières. Les données fournies par le NZTD nous permettent d’effectuer un contrôle plus efficace des risques et de cibler les passagers et les marchandises qui nous préoccupent le plus. Elles permettent également à Biosecurity New Zealand de disposer de meilleures données pour évaluer les risques futurs et d’un nouveau canal pour transmettre aux voyageurs des informations essentielles en matière de biosécurité », précise Stuart Anderson.

La déclaration de voyage en Nouvelle-Zélande NZTD en bref

• Toute personne entrant en Nouvelle-Zélande doit soumettre une déclaration numérique de voyage.
• La NZTD est gratuite et la demande prend environ 10 minutes.
• La déclaration numérique de voyage peut être remplie en ligne ou sur l’application mobile NZTD.
• Pour les voyageurs aériens, vous pouvez soumettre votre déclaration au plus tôt 24 heures avant le début de votre voyage en Nouvelle-Zélande. Elle doit être soumise au moment où vous atteignez le contrôle des passeports en Nouvelle-Zélande.
• Pour les voyageurs maritimes, vous pouvez soumettre votre déclaration au plus tôt 24 heures avant le départ du dernier port étranger du navire avant votre arrivée en Nouvelle-Zélande. La demande doit être finalisée au moment où le navire a accosté dans son premier port en Nouvelle-Zélande.
• Une personne de confiance peut vous aider à remplir la NZTD ou le faire en votre nom (avec votre permission).
• Une déclaration doit être remplie pour chaque voyageur, y compris les bébés et les enfants.
• Votre déclaration numérique est liée à votre passeport et est contrôlée à votre arrivée à l‘eGate ou par un agent aux frontières.
• Aucun QR code n’est émis et vous n’avez rien à imprimer.
• Un formulaire de déclaration papier est disponible, pour les voyageurs qui ne peuvent pas le remplir en ligne.

Comment remplir la déclaration numérique de voyage en Nouvelle-Zélande

Comment démarrer une déclaration NZTD

Vous pouvez commencer et remplir une déclaration de voyage NZTD:

• en ligne sur le portail app.travellerdeclaration.govt.nz ou
• sur l’application mobile NZTD, que vous pouvez télécharger sur l’App Store ou sur Google Play

Une fois que vous aurez débuté votre déclaration, vous recevrez un numéro de référence par courrier électronique que vous pourrez utiliser pour consulter, compléter ou apporter des modifications à votre déclaration. Prenez note de ce numéro de référence, au cas où vous en auriez besoin à votre arrivée en Nouvelle-Zélande.

Remarque : l’application mobile NZTD est uniquement disponible pour les passagers aériens et les croisiéristes, elle n’est pas encore disponible pour les autres voyageurs maritimes.

Informations que vous devez fournir

• Informations du passeport
• Coordonnées en Nouvelle-Zélande (si vous séjournez dans plusieurs endroits, utilisez la première adresse à laquelle vous serez en Nouvelle-Zélande)
• Historique de voyage des 30 derniers jours
• Détails du vol ou du voyage
• Informations sur ce que vous emportez en Nouvelle-Zélande, y compris les bagages enregistrés et les bagages à main
• Statut d’immigration, y compris votre visa ou NZeTA, si nécessaire.

Ce que vous devez déclarer

Certains articles peuvent être porteurs de parasites et de maladies nuisibles et doivent être déclarés. Cela inclut des éléments tels que certains aliments, les équipements de plein air usagés, les produits d’origine animale et végétale. Vous devez également déclarer les médicaments, le tabac, l’alcool et si vous transportez 10 000 NZD ou plus en espèces (ou équivalent) en Nouvelle-Zélande.

Votre déclaration de voyage est un document légal. Les fausses déclarations peuvent entraîner des sanctions, notamment la confiscation des marchandises, une amende instantanée minimale de 400 NZD, des poursuites, l’emprisonnement et l’expulsion de Nouvelle-Zélande.

Soumettre la déclaration NZTD

Les passagers aériens peuvent soumettre leur déclaration au plus tôt 24 heures avant le début du voyage en Nouvelle-Zélande.

Les voyageurs maritimes doivent finaliser leur déclaration au plus tôt 24 heures avant le départ du dernier port étranger du navire avant l’arrivée en Nouvelle-Zélande.

Une fois que vous aurez soumis votre déclaration, vous recevrez un e-mail contenant des informations sur ce que vous devez savoir pour entrer en Nouvelle-Zélande, sur la base de ce que vous indiqué.

Vous n’avez pas besoin d’imprimer quoi que ce soit.

Modifier une déclaration NZTD

Vous pouvez utiliser le numéro de référence qui vous a été envoyé par courrier électronique pour consulter, compléter ou modifier votre déclaration.

Vous devrez soumettre à nouveau votre déclaration si vous y apportez des modifications.

Vous ne pouvez plus modifier votre déclaration après avoir passé le contrôle des passeports en Nouvelle-Zélande. Si vous avez oublié de déclarer quelque chose, vous devrez en parler à un agent des frontières.

Si vous transportez un article restreint ou interdit et que vous ne le déclarez pas, vous pourriez être condamné à une amende ou à des poursuites.

Accompagnement pour remplir la déclaration NZTD

Si vous rencontrez des difficultés avec votre déclaration, vous pouvez demander à une personne de confiance de vous aider ou de la remplir à votre place. Un formulaire de déclaration papier est disponible à l’arrivée, si nécessaire. Vous n’avez pas besoin de remplir un formulaire de déclaration papier si vous avez complété une déclaration numérique.

Voyages long-courriers et escales

Si vous avez une escale (vous quittez l’aéroport et emportez vos bagages avec vous), vous pouvez soumettre votre déclaration au plus tôt 24 heures avant le départ de votre vol pour la Nouvelle-Zélande.

Si vous voyagez en long-courrier (sur plusieurs vols sans escale), vous pouvez soumettre votre déclaration au plus tôt 24 heures avant le début de la première étape de votre voyage vers la Nouvelle-Zélande.

Voyager avec des passeports multinationaux

Entrez les détails du passeport que vous utiliserez pour entrer en Nouvelle-Zélande lorsque vous remplirez votre déclaration de voyage.

Modifications de votre vol ou voyage

Si vous modifiez votre réservation de vol, vous devez mettre à jour votre déclaration numérique pour refléter les nouveaux détails de votre vol. Assurez-vous de soumettre à nouveau votre déclaration.

Si votre vol est annulé ou modifié par la compagnie aérienne, vous n’avez rien à faire si vous voyagez le même jour. Si votre vol arrive un autre jour, vous devrez modifier votre déclaration pour l’indiquer.

Si vous voyagez par voie maritime et que la date de votre arrivée ou les détails du navire sur lequel vous voyagez sont modifiés, vous devrez modifier votre déclaration en conséquence.

Les voyageurs qui n’ont pas besoin de remplir de déclaration NZTD

Les voyageurs aériens qui transitent par la Nouvelle-Zélande et séjournent dans la zone de transit d’un aéroport n’ont pas besoin de remplir de déclaration.

Les voyageurs arrivant de manière inattendue en Nouvelle-Zélande en raison d’une urgence n’auront peut-être pas besoin de remplir une déclaration. Cela inclut les personnes qui arrivent en Nouvelle-Zélande après avoir été évacuées pour des raisons médicales, secourues en mer ou temporairement en raison des conditions météorologiques.

Déclarations de groupe ou de famille

Si vous voyagez en groupe ou en famille, des déclarations individuelles sont à remplir pour chaque personne voyageant.

Arriver en Nouvelle-Zélande avec la NZTD

Contrôle des passeports

Le contrôle des passeports est le lieu de l’aéroport où un agent des frontières vérifie votre passeport ou où vous utilisez un eGate (votre passeport est scanné et automatiquement vérifié).

Si vous avez rempli votre déclaration en ligne, votre NZTD sera automatiquement vérifiée lorsque vous scannerez votre passeport à l’eGate ou lorsqu’il sera contrôlé par un agent aux frontières. Si votre déclaration est différente de celle que vous avez soumise, parlez-en à un agent des frontières.

Vous ne pouvez plus modifier votre déclaration numérique après avoir passé le contrôle des passeports en Nouvelle-Zélande. Si vous avez oublié de déclarer quelque chose, vous devrez en parler à un agent des frontières.

Vos sacs peuvent être radiographiés et inspectés. Si vous transportez un article restreint ou interdit, il est préférable de le déclarer, sinon vous pourriez être condamné à une amende ou à des poursuites. N’oubliez pas qu’il est préférable de déclarer tout ce dont vous n’êtes pas sûr.

Arriver par voie maritime en Nouvelle-Zélande

Un agent frontalier vérifiera votre déclaration à votre arrivée en Nouvelle-Zélande. Votre NZTD est liée à votre passeport et vérifiée automatiquement à votre arrivée.

Votre navire peut être inspecté. Si vous avez oublié de déclarer quelque chose, vous devrez en parler à un agent des frontières.

Si vous n’avez pas déclaré les objets que vous devriez avoir, vous pourriez être condamné à une amende ou faire l’objet de poursuites.

Passagers en transit aérien en Nouvelle-Zélande

Les passagers en transit n’ont pas besoin de remplir une déclaration NZTD.

Vous êtes un passager en transit si vous entrez en Nouvelle-Zélande et restez dans la zone de transit de l’aéroport d’Auckland avant de vous rendre dans un autre pays. Vous pouvez être en transit jusqu’à 24 heures.

Si vous quittez l’aéroport d’Auckland, ou si votre voyage se termine en Nouvelle-Zélande, vous n’êtes pas un passager en transit. Vous devrez remplir une déclaration pour entrer en Nouvelle-Zélande.

Vous aurez peut-être besoin d’une NZeTA (New Zealand Electronic Travel Authority) ou d’un visa de transit pour transiter par la Nouvelle-Zélande.

Près d’un an et demi après avoir levé ses dernières restrictions d’entrée liées au Covid-19, la Papouasie-Nouvelle-Guinée assouplie ses formalités sanitaires de délivrance des visas.

Et oui ! Jusqu’au 13 février dernier, les autorités papouasiennes de l’immigration imposaient encore aux visiteurs internationaux réclamant un visa électronique (e-Visa) de fournir un document sanitaire en lien avec la pandémie. Ce justificatif était à présenter sous la forme d’un test négatif, d’un certificat de vaccination ou d’un formulaire de santé.

Cette exigence est (enfin) supprimée depuis le 14 février 2024.

Dans un avis public, le responsable des migrations par intérim, Wellington Navasivu, informe les voyageurs, agences de visas et parties prenantes de la suppression du document sanitaire lié au Covid-19 comme exigence de visa obligatoire.

« Cela est conforme à la révocation de la mesure 2 « Restriction des voyages internationaux en vertu de la loi sur la pandémie de 2020 », qui a été levée par le gouvernement le 6 octobre 2022. La suppression de cette exigence prend effet immédiatement pour les demandes de visa déposées en ligne et par courrier électronique », expliquent les autorités.

Voyage en Papouasie-Nouvelle-Guinée : visa à l’arrivée ou visa électronique ?

Actuellement, seuls les citoyens des 24 pays et territoires suivants peuvent obtenir un visa à l’arrivée en Papouasie-Nouvelle-Guinée:

• Chine, Fidji, Guam, Îles Cook, Îles Mariannes du Nord, Îles Marshall, Îles Salomon, Indonésie, Israël, Japon, Kiribati, Micronésie (États fédérés), Nauru, Niué, Nouvelle-Calédonie, Palaos, Samoa, Samoa américaines, Tahiti, Tokelau, Tonga, Tuvalu, Vanuatu et Wallis et Futuna.

En 2018, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a décidé de numériser ses formalités d’entrée en introduisant un visa électronique (e-Visa).

Sur le portail gouvernemental evisa.ica.gov.pg, les touristes et voyageurs d’affaires de plus de 90 pays et territoires peuvent demander un visa en ligne pour une durée de séjour de 30 ou 60 jours.

e-Visa de 60 jours:

• Allemagne, Andorre, Argentine, Autriche, Belgique, Brésil, Brunéi, Bulgarie, Canada, Chili, Chypre, Corée du Sud, Croatie, Danemark, Équateur, Espagne, Estonie, États-Unis, Fidji, Finlande, France, Grèce, Hong Kong, Hongrie, Îles Marshall, Îles Salomon, Indonésie, Irlande, Islande, Israël, Italie, Japon, Kiribati, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Macao, Malaisie, Maldives, Malte, Mexique, Micronésie, Monaco, Nauru, Norvège, Nouvelle-Zélande, Palaos, Pays-Bas, Pérou, Philippines, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Saint Marin, Samoa, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Taïwan, Thaïlande, Tonga, Tuvalu, Uruguay, Vanuatu et Vatican.

e-Visa de 30 jours:

• Afrique du Sud, Antigua-et-Barbuda, Australie, Bahamas, Barbade, Bélize, Botswana, Chine, Dominique, Grenade, Guyana, Inde, Jamaïque, Kenya, Lesotho, Maurice, Namibie, Russie, Rwanda, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Seychelles, Trinité-et-Tobago, Vietnam et Zambie.

L’introduction du visa électronique, une avancée significative pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée

L’introduction du visa électronique (e-Visa) pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée présente plusieurs avantages significatifs, tant pour les voyageurs que pour le pays lui-même :

Facilité d’accès pour les voyageurs

L’obtention d’un visa électronique simplifie grandement le processus pour les visiteurs en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ils peuvent désormais faire leur demande en ligne, sans avoir à se rendre dans une ambassade ou un consulat, ce qui économise temps et efforts.

Promotion du tourisme

Avec un processus de demande simplifié, la Papouasie-Nouvelle-Guinée devient plus accessible aux touristes. Cela peut entraîner une augmentation du nombre de visiteurs, stimulant l’économie locale grâce aux dépenses en hébergement, restauration, et activités touristiques.

Amélioration de la sécurité

Le système de visa électronique permet aux autorités de mieux contrôler et vérifier les informations des voyageurs avant leur arrivée dans le pays. Cela renforce la sécurité nationale en facilitant l’identification préalable des individus posant potentiellement un risque.

Efficacité administrative

La gestion des demandes de visa en ligne réduit la charge de travail des services d’immigration et des représentations diplomatiques, rendant le processus plus efficace. Cela peut également réduire les délais de traitement, améliorant l’expérience utilisateur.

Collecte de données et analyse

Le système de visa électronique fournit aux autorités un moyen efficace de collecter des données sur les visiteurs. Ces informations peuvent être utilisées pour analyser les tendances du tourisme et adapter les stratégies de promotion et de développement touristique en conséquence.

Réduction des coûts

Pour les voyageurs, l’élimination du besoin de se déplacer pour obtenir un visa peut représenter une économie significative. Pour la Papouasie Nouvelle Guinée, la dématérialisation des processus peut entraîner une réduction des coûts administratifs.

Accessibilité accrue

Le visa électronique rend le pays plus accessible à un plus large éventail de visiteurs, y compris ceux qui vivent loin des ambassades ou des consulats, ou dans des pays sans représentation diplomatique de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.