S’expatrier n’est pas seulement synonyme de changer de pays. En réalité, une telle décision vous contraint à changer de mode de vie. Comprenez que le pays dans lequel vous vous rendez a ses règles. De plus, le niveau de vie qui y prévaut peut vous obliger à faire face à des dépenses inhabituelles. Pour éviter les imprévus financiers et profiter de votre pays d’accueil en toute sérénité, adoptez les bons réflexes. En quoi cela consiste-t-il concrètement ? Voici notre réponse.

Penser au coût de la vie dans le pays de destination

De nombreux pays peuvent à première vue paraître attractifs en raison de la facilité à décrocher des contrats professionnels ou du salaire élevé pour les travailleurs. Cependant, en contrepartie, il y a de nombreuses dépenses obligatoires auxquelles vous devez faire face. Cela peut être les frais à payer au moment d’envoyer de l’argent à l’étranger ou le coût pour bénéficier de soins ou d’une couverture sociale. Il peut aussi s’agir du loyer, des frais de scolarité ou de la facture d’électricité. Si vous devez supporter des charges élevées, il est peu probable que vous vous en sortiez, même avec un bon salaire. C’est pour cette raison qu’avant de prendre départ, vous devez être sûr de pouvoir vous offrir un bon niveau de vie malgré les charges dans le pays. Intéressez‑vous au coût de la vie quotidienne, au prix du panier alimentaire, au coût moyen d’un logement et des transports publics. Vous pourrez ainsi mieux vous préparer. Pensez aussi à constituer un coussin de trésorerie pour les premiers mois.

Revoir votre gestion bancaire

Lorsque vous passez du statut de résident à expatrié, certaines opérations bancaires vous sont facturées plus cher. D’autres vous sont limitées. Parfois, vous êtes même contraint de faire des déclarations spécifiques de vos comptes. Cela signifie que vous ne pouvez plus continuer à avoir un simple compte français si vous envisagez une expatriation. Par conséquent, vous devez mettre en place une stratégie bancaire plus adaptée. Autrement dit, il servira à recevoir votre salaire, à effectuer les opérations locales sans frais supplémentaires et à payer le loyer. Quant au compte que vous avez déjà en France, il doit être conservé. Celui-ci sera utile pour gérer les abonnements ou les revenus locaux. Pour faciliter les transferts tout en limitant les frais, vous pouvez aussi opter pour une solution multi-devises ou internationale.

Anticiper son statut fiscal

Devenir expatrié ne signifie pas toujours que vous êtes exonéré d’impôt dans votre pays d’origine. Il est vrai que la France a signé des conventions avec plusieurs pays pour éviter la double imposition. Comprenez que cela dépend de l’accord conclu, du centre des intérêts économiques, de votre activité professionnelle et de votre lieu de résidence principale. Pour être alors à l’abri de dépenses supplémentaires, vous devez réfléchir à votre situation fiscale avant de partir. Concrètement, cherchez d’abord à connaître votre nouveau statut fiscal. Ensuite, vérifiez qu’il existe une convention entre les deux pays qui vous exonère d’une double imposition. Intéressez-vous aussi à vos obligations en France même après votre voyage. Renseignez-vous enfin sur les différentes déclarations à effectuer pour éviter d’éventuels redressements.

Adapter la couverture sociale

Dès que vous obtenez le statut d’expatrié, certaines de vos couvertures sociales deviennent inutiles ou inadaptées. D’autres s’interrompent automatiquement, malgré leur importance. Malheureusement, vous ne pouvez pas souscrire aux mêmes garanties dans le pays d’origine et celui d’accueil, car la qualité des soins n’est pas la même. Le coût varie aussi d’un territoire à un autre. C’est pour éviter ces doublons tout en protégeant vos finances qu’il est conseillé d’anticiper également votre couverture sociale avant d’aller à l’étranger. Généralement, on recommande d’opter pour une couverture rapatriement, une mutuelle complémentaire et une assurance santé obligatoire. Si vous voyagez avec vos enfants, vous devez aussi souscrire à une assurance familiale. Une affiliation locale obligatoire est également nécessaire de même qu’une mutuelle complémentaire. Par ailleurs, tout comme l’assurance santé, on conseille aussi d’anticiper les autres formes de garanties comme l’assurance habitation, responsabilité civile, etc.

Anticiper ses finances dans le cadre d’une expatriation sous-entend que vous devez revoir votre assurance et votre gestion bancaire. Cela implique aussi de réfléchir à votre statut fiscal. Mais avant toutes ces démarches, vous devez bien analyser le coût de la vie dans le pays d’accueil afin de réadapter votre trésorerie.

Voyager au Royaume-Uni continue de séduire, que ce soit pour un séjour touristique ou un déplacement professionnel. Mais depuis la sortie du pays de l’Union européenne, une nouvelle formalité s’est imposée : l’autorisation de voyage électronique (ETA). Cette exigence concerne désormais la plupart des ressortissants européens, modifiant profondément les habitudes aux frontières britanniques.

Pourquoi l’ETA est-elle devenue indispensable pour voyager au Royaume-Uni ?

Avec la sortie du Royaume-Uni de l’espace Schengen, les autorités ont instauré des contrôles renforcés pour réguler l’accès à leur territoire. Désormais, il faut impérativement obtenir une exemption de visa via l’ETA avant tout passage, même pour un court séjour. Le but affiché du gouvernement britannique : sécuriser et maîtriser les flux de voyageurs, qu’ils soient touristes ou professionnels.

L’autorisation de voyage électronique vise principalement les citoyens des pays bénéficiant d’une exemption de visa classique. Que la visite soit familiale, professionnelle ou touristique, cette formalité s’impose dans bien des cas. Bien plus simple qu’un visa traditionnel, l’ETA reste toutefois un filtre incontournable à l’entrée sur le sol britannique. Pour plus de sécurité lors de vos connexions en ligne, vous pouvez par exemple installer cyberghost pour Windows.

Comment demander son ETA et quelles sont les conditions à remplir ?

La demande d’ETA a été largement simplifiée grâce à sa digitalisation : plus besoin de se rendre en ambassade ni de remplir des formulaires papier. Il suffit de passer par le site du gouvernement britannique ou d’utiliser une application mobile officielle. En quelques étapes, on renseigne ses informations personnelles, les données du passeport et on règle les frais associés, généralement bien inférieurs à ceux d’un visa classique.

Après validation, l’ETA est liée électroniquement au numéro de passeport utilisé lors de la demande. Lors de l’arrivée au Royaume-Uni, les agents de douane contrôlent directement la validité de l’ETA, sans nécessiter de documents physiques supplémentaires. Cela fluidifie grandement le passage à la frontière et réduit les risques d’oubli ou de perte de papiers essentiels.

Pour être éligible, il convient de présenter un passeport valide et de répondre à un questionnaire concernant certains antécédents médicaux ou judiciaires. Aucun entretien n’est requis sauf exception, et la réponse arrive généralement sous un à trois jours ouvrés par email. Attention cependant : il vaut mieux ne pas attendre la dernière minute pour effectuer la démarche, car voyager sans autorisation expose à un refus d’entrée immédiat.

Côté durée, l’ETA est valable deux ans ou jusqu’à l’expiration du passeport associé, permettant ainsi plusieurs courts séjours sans renouvellement systématique. Toutefois, elle ne couvre que les visites temporaires : toute volonté d’étudier, de travailler ou de s’installer durablement exige un visa spécifique.

Quelles exceptions et conseils pratiques pour voyager sereinement avec l’ETA ?

Certaines personnes échappent encore à l’obligation d’ETA, comme les détenteurs de passeports britanniques ou irlandais, ou les résidents permanents déjà enregistrés auprès de l’administration britannique. Les diplomates et membres d’organisations internationales en mission officielle bénéficient aussi d’exemptions spécifiques, mais ces cas restent très minoritaires.

Pour voyager l’esprit tranquille, il est conseillé de conserver une copie numérique de l’autorisation de voyage électronique, même si celle-ci est automatiquement rattachée au passeport. Vérifier régulièrement la date de validité de l’ETA évite les mauvaises surprises lors d’un futur séjour. Enfin, suivre les mises à jour sur le site du gouvernement britannique ou via l’application mobile permet de rester informé des éventuelles évolutions réglementaires et de gérer facilement toutes ses formalités de voyage.

L’instauration de l’ETA modifie également la manière dont les voyageurs planifient leurs séjours au Royaume-Uni. Pour les agences de voyage, les entreprises et les organisateurs d’événements internationaux, cette formalité devient un passage obligé à anticiper dans la gestion logistique des déplacements. Les employeurs doivent par exemple intégrer ce paramètre lors des missions à Londres ou des rendez-vous professionnels avec des partenaires britanniques. Pour les touristes, cette évolution s’inscrit dans la tendance plus large de la digitalisation des formalités frontalières, déjà visible au Canada, en Australie ou aux États-Unis avec le système ESTA. En ce sens, l’ETA reflète la volonté du Royaume-Uni de combiner sécurité et innovation technologique en matière de contrôle des frontières. Une fois cette étape administrative intégrée dans vos préparatifs, voyager outre-Manche redevient une expérience fluide et enrichissante, surtout si l’on prend le temps de se renseigner et de préparer ses documents à l’avance.

Préparer un voyage en Turquie avec Ôvoyages ouvre la porte à un pays où l’histoire, les paysages et les traditions se mêlent avec intensité. Ce type de séjour permet de découvrir des lieux emblématiques, d’explorer des régions contrastées et d’anticiper sereinement les aspects pratiques nécessaires pour profiter pleinement du territoire.

Comprendre la Turquie avant le départ

Un pays au carrefour de continents

Située entre Europe et Asie, la Turquie porte des influences multiples qui se ressentent dans son architecture, sa gastronomie et son rythme urbain. Istanbul en est l’exemple le plus saisissant, ville éclatante de contrastes où se côtoient vestiges antiques, mosquées majestueuses et quartiers modernes. Ce mélange crée un cadre où chaque déplacement semble raconter un fragment différent de son histoire.

Une mosaïque de régions

Les voyageurs découvrent rapidement une diversité étonnante. Les plages de la côte égéenne n’ont rien à voir avec les reliefs de la Cappadoce, et les ambiances du sud contrastent avec celles des grandes métropoles. Cette variété encourage à préparer un itinéraire adapté, car un voyage en Turquie ne se résume jamais à un seul paysage ni à une seule atmosphère.

Les formalités et conditions de voyage

L’entrée sur le territoire

Avant le départ, il est essentiel de vérifier les documents nécessaires en fonction de sa nationalité. Les exigences peuvent évoluer, notamment concernant la durée de séjour autorisée ou les pièces justificatives à présenter. Cette anticipation permet d’arriver sereinement et d’éviter les imprévus aux points d’entrée.

Voyager facilement dans le pays

Une fois sur place, le réseau de transports facilite grandement les déplacements. Vols intérieurs fréquents, liaisons terrestres efficaces, diversité des moyens de transport, tout contribue à organiser un séjour flexible. Cela permet d’enchaîner zones urbaines, régions naturelles et sites historiques avec une grande fluidité.

Explorer les grands paysages et le patrimoine turc

Un héritage historique impressionnant

La Turquie abrite des trésors issus de civilisations variées. Temples antiques, villes romaines, monuments ottomans ou forteresses perchées racontent une chronologie dense. Parcourir ces lieux revient à traverser plusieurs époques en quelques jours, ce qui rend le séjour particulièrement enrichissant pour les amateurs d’histoire.

Des décors naturels uniques

Les paysages turcs surprennent par leur variété. Les formations volcaniques de Cappadoce semblent sorties d’un récit fantastique, tandis que les plages du sud offrent une douceur méditerranéenne. Montagnes, plateaux, forêts et zones rurales complètent cette pluralité, donnant au voyageur un sentiment d’immersion permanente.

Les savoir-faire et l’art de vivre turcs

Une cuisine riche et conviviale

La découverte de la Turquie passe aussi par la table. Les saveurs locales, les épices, les pâtisseries traditionnelles et les repas partagés reflètent un mode de vie tourné vers la convivialité. Déguster des plats typiques devient une manière d’entrer en contact avec la culture et avec ceux qui la font vivre.

Une immersion dans la vie quotidienne

Les marchés, les cafés, les quartiers anciens et les ruelles animées constituent autant d’occasions d’observer la vie locale. Ces moments simples, souvent spontanés, renforcent le lien avec le pays et offrent une compréhension plus intime de son rythme.

Une destination qui allie immersion et organisation

Préparer un voyage en Turquie avec Ôvoyages permet d’aborder sereinement un pays où chaque région propose une expérience différente. Entre formalités maîtrisées, patrimoine d’une richesse rare et paysages contrastés, le séjour se construit naturellement comme une exploration à la fois culturelle, historique et sensorielle. La Turquie laisse une impression durable, nourrie par la diversité de ses découvertes et l’accueil chaleureux de ses habitants. C’est une destination qui réunit préparation pratique et émerveillement continu, offrant un équilibre idéal pour les voyageurs exigeants.

Les voyageurs et les professionnels du tourisme sont confrontés à des difficultés d’accès aux portails officiels de demandes de visa électronique (e-Visa), suite à une importante panne survenue au sein de l’infrastructure de Cloudflare, un acteur majeur des services de réseau de diffusion de contenu (CDN) et de sécurité Internet.

Cet incident technique, survenu le mardi 18 novembre 2025 dans la matinée (heure UTC), a engendré des perturbations généralisées sur de nombreux sites web à travers le monde, y compris ceux essentiels aux démarches administratives de voyage.

Une dégradation de service aux conséquences étendues

Cloudflare a confirmé être confronté à une dégradation de service interne impactant de manière intermittente plusieurs de ses fonctionnalités. L’entreprise, qui fournit des services cruciaux tels que la protection contre les attaques par déni de service distribué (DDoS), le pare-feu d’application web (WAF) et la distribution de contenu rapide, a rapidement mobilisé ses équipes pour identifier et corriger le problème.

Les conséquences de cette panne se sont manifestées par des erreurs HTTP 500 (erreurs de serveur interne) et d’autres messages d’indisponibilité, empêchant les utilisateurs de finaliser ou de consulter leurs demandes de e-Visas.

Des démarches de voyage à l’arrêt forcé

Parmi les plateformes directement touchées, on retrouve plusieurs portails gouvernementaux et officiels qui dépendent de l’infrastructure de Cloudflare pour assurer leur fonctionnement et leur sécurité.

La liste des sites affectés comprend les systèmes de demande de visa électronique (e-Visa) de nombreux pays, notamment :

• https://visa.visitsaudi.com/ (Arabie Saoudite)
• https://evisa.bj/ (Bénin)
• https://evisa.gov.az/ (Azerbaïdjan)
• https://www.evisa.gov.bh/ (Bahreïn)
• https://snedai.com/e-visa/ (Côte d’Ivoire)
• https://www.etakenya.go.ke/ (Kenya)
• https://evisa.ica.gov.pg/evisa/ (Papouasie-Nouvelle-Guinée)
• https://www.thaievisa.go.th/ (Thaïlande)

Pour les voyageurs ayant des départs approchant, bien que cette situation engendre des préoccupations légitimes, il est recommandé de consulter régulièrement le statut du service et, le cas échéant, les communications officielles des ambassades concernées concernant d’éventuelles procédures d’urgence ou mises à jour.

Récupération progressive des services

Selon la page de statut de Cloudflare, les équipes ont identifié le problème et travaillent à l’application d’un correctif. Des signes de rétablissement progressif des services ont été observés, bien que les clients puissent encore rencontrer des taux d’erreur supérieurs à la normale.

Cet incident met une nouvelle fois en lumière la fragilité systémique d’Internet et la dépendance critique d’une grande partie du Web mondial à quelques acteurs d’infrastructure majeurs comme Cloudflare. Il rappelle la nécessité pour les prestataires de services essentiels, tels que les plateformes de visas, de disposer d’architectures résilientes et multi-régionales pour minimiser l’impact de ce type de défaillance.

C’est depuis la Maison-Blanche que Donald Trump, accompagné du président de la FIFA Gianni Infantino, a dévoilé hier le « FIFA PASS », un dispositif inédit destiné à faciliter l’accès aux entretiens de visa pour les supporters souhaitant assister à la Coupe du monde de football 2026.

Pour Washington, l’enjeu est clair : garantir qu’un maximum de fans internationaux puisse se rendre sur le sol américain dans des délais raisonnables, alors que les consulats connaissent encore des arriérés importants pour les demandes de visas touristiques.

À quelques mois du plus grand événement footballistique au monde, Gianni Infantino a exprimé sa grande satisfaction en annonçant le lancement du « FIFA PASS » (Priority Appointment Scheduling System), « un service qui offre à tous les supporters qui achètent un billet pour la Coupe du Monde de la FIFA sur FIFA.com/tickets et qui se rendent aux États-Unis la possibilité de prendre rendez-vous en priorité pour obtenir un visa ».

« Nous avons toujours dit que cette Coupe du Monde de la FIFA serait la plus grande et la plus inclusive de l’histoire, et le FIFA PASS en est un exemple très concret », a déclaré le président de la FIFA, ravi de l’« incroyable soutien » apporté par Donald J. Trump, le vice-président JD Vance, le secrétaire d’État américain Marco Rubio, la secrétaire à la Sécurité intérieure Kristi Noem, le directeur exécutif Andrew Giuliani et le groupe de travail de la Maison-Blanche.

Réduire la pression sur les consulats américains

Les États-Unis, coorganisateurs de la compétition avec la Canada et le Mexique, accueilleront 78 des 104 rencontres du Mondial 2026, avec une affluence attendue de plusieurs millions de visiteurs. Un défi d’autant plus important que certains consulats américains, notamment en Afrique, en Amérique latine et en Asie, affichent traditionnellement des délais d’entretien pouvant dépasser plusieurs mois.

Le « FIFA PASS » ne garantit pas l’obtention du visa, mais permet à son détenteur, à condition d’avoir au préalable acheté un billet officiel via la plateforme FIFA, d’accéder à un calendrier de rendez-vous prioritaire.

Selon les premières estimations publiées par les autorités américaines, les délais d’attente pourraient ainsi être ramenés à environ 60 jours dans certaines régions, contre plusieurs centaines de jours auparavant.

Malgré l’enthousiasme entourant l’annonce, les autorités américaines ont tenu à rappeler un élément central : un billet de match ne constitue pas un visa.

« Votre billet n’est pas un visa ; il ne garantit pas l’admission aux États-Unis », a déclaré Marco Rubio, également présent à la Maison-Blanche ce lundi. « Nous allons procéder au même contrôle que pour n’importe qui d’autre. La seule différence ici est que nous les faisons passer devant dans la file d’attente ».

Ainsi, le processus reste inchangé : formulaire DS-160, paiement des frais, entretien en personne et vérifications de sécurité. Le « FIFA PASS » n’est donc qu’un accès prioritaire au rendez-vous, sans incidence sur la décision finale des autorités.

Visa, ESTA et limites du « FIFA PASS » : ce que devront faire les voyageurs

Pour entrer aux États-Unis pendant la Coupe du monde 2026 :

• Les ressortissants des pays membres du Programme d’Exemption de Visa (VWP), comme les États européens, devront demander une autorisation de voyage électronique ESTA, obligatoire même hors période de compétition.
• Les voyageurs non éligibles à l’ESTA devront demander un visa touristique (B1/B2).
• Le « FIFA PASS » offrira alors, pour tout détenteur de billet officiel, l’accès à un créneau prioritaire d’entretien dans un consulat américain.
• Le processus de vérification, les documents requis et la décision finale restent, en revanche, inchangés.

En somme, le « FIFA PASS » se veut un outil pour fluidifier l’accès au visa, pas un laissez-passer. Une « file rapide », mais pas une nouvelle voie d’entrée.

Le choix de son hébergement de vacances est une étape décisive pour passer un séjour agréable. Quelle que soit la destination, les options sont multiples. Entre hôtels, locations privées, campings ou résidences de tourisme, il est important de faire un choix adapté à vos attentes. Chaque voyageur ayant des besoins spécifiques, il est primordial d’établir ses priorités au préalable avant de valider une réservation. Dans cet article, nous vous proposons une liste de critères essentiels à évaluer pour trouver un hébergement qui répond à vos exigences.

L’emplacement de l’hébergement

La localisation est l’un des principaux critères pour choisir son hébergement de vacances. Il influence directement le confort de votre séjour. Cependant, le choix dépend de vos priorités. Souhaitez-vous rester à proximité des pages, au cœur des quartiers animés ou proche des commerces ? Vous pouvez consulter booking vol + hotel pour mieux vous orienter.

Un hébergement situé dans le centre-ville offre un accès facile aux transports, commerces, restaurants ainsi qu’aux attractions emblématiques. Ce qui simplifie les déplacements quotidiens.

En revanche, un logement isolé ou situé à la périphérie offre une immersion dans un environnement calme et reposant. Cette option est idéale pour les voyageurs qui souhaitent vivre leurs vacances dans un cadre tranquille loin des bruits. En clarifiant vos priorités, il est plus aisé de trouver un emplacement qui s’adapte à votre style de séjour.

Tenir compte du budget global du séjour

Le budget est un autre élément qui conditionne la qualité de l’hébergement. Lors de la planification de votre voyage, il est important de définir une plage budgétaire réaliste. Ce budget prévisionnel doit inclure non seulement le prix de logement, mais aussi les frais annexes comme les repas, le parking, les taxes ou les activités. Faites attention aux hébergements qui proposent des tarifs très attractifs. Souvent, ceux-ci dissimulent des frais additionnels que vous découvrez une fois sur place, ce qui alourdit la facture finale.

Pour obtenir un meilleur rapport qualité/prix, il est conseillé de comparer différentes offres sur plusieurs plateformes. Les réservations anticipées permettent de profiter des offres intéressantes. À l’inverse, les prix peuvent grimper dans les périodes de forte affluence. En définissant votre budget dès le départ, vous êtes assuré de trouver un logement cohérent qui répond à votre niveau de confort.

Miser sur le type d’hébergement qui correspond au style de voyage

Le choix du type d’hébergement dépend du mode de voyage. Que vous souhaitiez un séjour détente, une visite culturelle, un road trip ou des vacances sportives, le choix ne serait pas le même. Chaque type de logement présente des spécificités en termes du niveau de confort, de l’intimité et des équipements.

Par exemple, un hôtel est un hébergement clé en main. Il convient aux voyageurs qui recherchent plus de confort. Quant à un appartement, il offre plus d’autonomie. L’occupant peut organiser librement son temps. Les campings, les lodges ou les habitats verts constituent de meilleures options pour les voyageurs nature. Elles offrent un environnement authentique.

Si vous êtes en famille, misez sur des locations ou résidences spacieuses et bien équipées pour offrir un espace confortable. Choisir un logement adapté à votre style de voyage garantit un séjour agréable et une expérience personnalisée selon vos attentes.

Vérifier les équipements et installations disponibles

Les installations disponibles et les équipements proposés par l’hébergement jouent un rôle important dans le confort quotidien. La climatisation, le wifi, le parking sécurisé, la literie de qualité et la cuisine équipée sont des éléments de base incontournables. Cependant, selon les envies de chaque voyageur, certaines installations peuvent être nécessaires. Par exemple, pour un séjour en famille, la présence d’airs de jeux, d’une piscine ou des espaces communs offre une expérience unique.

Quant aux voyageurs professionnels, l’aménagement d’un espace de travail fonctionnel et la disponibilité d’une connexion internet fiable sont critères de premier plan. Un logement avec des installations modernes rend votre séjour pratique et contribue à votre bien-être.

La sécurité autour de l’hébergement

La sécurité autour du logement est un facteur important, notamment en cas de séjour en famille ou dans un pays que l’on connaît très peu. Avant de confirmer votre réservation, renseignez-vous sur la réputation du quartier. Vérifiez la présence des dispositifs sécuritaires comme les caméras, le gardiennage et un accès sécurisé.

De même, étudiez l’environnement autour de l’hébergement. À cet effet, assurez-vous de la proximité des services essentiels tels que les hôpitaux, les stations de transport ou les commerces. En combinant ces éléments, vous trouverez un lieu qui répond au niveau de sécurité souhaité et qui s’adapte à vos envies.

Vous êtes passionné de la photographie, amateur de randonnée ou aventurier à la recherche des paysages spectaculaires ? Les Açores séduisent par leur authenticité, leur nature sauvage et leur atmosphère calme. Cet archipel portugais perdu au cœur de l’Atlantique est un paradis naturel encore préservé du tourisme de masse. Il offre une variété d’activités qui permettent de vivre un séjour inoubliable. Cependant, cette aventure demande un minimum de planification pour profiter pleinement de votre expérience. Voici un guide complet pour préparer un séjour réussi aux Açores.

Choisir la meilleure période pour voyager aux Açores

Pour réussir son séjour aux Açores, la première étape est d’identifier le bon moment pour voyager. Cet archipel offre une diversité de climats : océanique, doux ou humide. Il n’est pas rare de voir l’atmosphère changer plusieurs fois en une seule journée. Le bon moment pour séjourner aux Açores s’étend de mai à octobre. Pendant cette période, les températures oscillent entre 20 et 26 °C.

Tenez aussi compte des activités à pratiquer sur place. Certaines périodes sont idéales pour des activités précises. Par exemple, pour faire la randonnée, la baignade ou observer les baleines, il est conseillé de partir en été. En revanche, pour les amoureux de paysages fleuris, le printemps est la période propice. Quant aux aventuriers en quête de tranquillité, l’hiver est la période appropriée.

Pour ne pas vous tromper dans votre planification, la meilleure solution est de partir en voyage aux Açores avec Secrets du Monde. Cette agence vous aide à bien préparer votre voyage de Faial à Ponta Delgada afin de vivre une expérience unique et enrichissante.

Identifier les îles à visiter selon vos envies

Les Açores offrent 9 iles qui proposent chacune des activités différentes. Sur la liste, São Miguel est la porte d’entrée. Considérée comme la plus vaste des iles, elle possède les lacs de Sete Cidades. Ces sources chaudes de Furnas et plantations de thé constituent une étape incontournable. Pour les amateurs de randonnée et de vin, ils seront ravis d’explorer Pico, l’ile dominée par le plus haut volcan du Portugal.

Quant à Faial, elle séduit par sa marina cosmopolite et son volcan Capelinhos. Elle constitue un bel espace pour les navigateurs. Pour les amoureux d’histoire et de la nature, Terceira offre des sites historiques avec sa magnifique ville classée d’Angra do Heroísmo.

Les petites îles comme Flores et Corvo vous invitent à la découverte de la nature brute et préservée. Vous n’êtes pas obligé de découvrir toutes les iles en un seul voyage. Pour un séjour équilibré, il est recommandé de combiner trois îles au maximum.

Planifier son hébergement et ses déplacements sur place

Plusieurs options d’hébergement sont disponibles pour votre séjour aux Açores : hôtels, maisons rurales, auberges de jeunesse et logements chez les habitants. Pour ceux qui souhaitent vivre une expérience authentique au cœur de la campagne, les quinta, anciennes demeures agricoles rénovées, constituent une belle option. Pour les déplacements sur place, la voiture de location est le moyen le plus courant, particulièrement sur les grandes iles comme São Miguel ou Terceira.

Pour les voyages entre les îles, vous pouvez choisir le ferry ou les vols régionaux. Les avions permettent de rallier rapidement les grandes distances, tandis que les ferries offrent des vues exceptionnelles sur l’océan. Pour l’hébergement, effectuez votre réservation tôt, car les logements sont souvent vite saturés.

Sélectionner les activités incontournables à faire aux Açores

Il existe un large éventail d’activités emblématiques aux Açores. Les amoureux de la nature apprécieront les randonnées sur les sentiers balisés autour des volcans, des lacs et le long des côtes. À Pico, São Miguel ou Faial, vous pouvez observer des baleines et des dauphins.

Les amateurs de baignade profiteront des piscines naturelles formées par la lave pour vivre des moments de détente magiques. Ceux qui adorent les sensations fortes peuvent faire de la plongée, rouler en VTT ou tenter le canyoning. Pour les pauses gourmandes, les Açores proposent des recettes typiquement locales. C’est l’occasion de savourer le fromage de São Jorge ou le thé de Gorreana. 

Préparer une valise adaptée au climat des Açores

Au regard de l’imprévisibilité du climat des Açores, l’idéal est d’emporter des vêtements adaptés au changement inopiné de la température. Pensez à une veste coupe-vent, un pull chaud et des chaussures de randonnée. Amenez aussi un maillot de bain pour profiter des piscines naturelles et des tenues confortables pour les balades. Préférez une cape de pluie à un parapluie. Gardez les lunettes solaires, la crème solaire et un chapeau en cas de forte chaleur.

Chaque semestre, le cabinet Henley & Partners analyse les tendances globales en matière de mobilité, de citoyenneté et de politique de visas. Son cœur repose sur le Henley Passport Index, classement de référence qui mesure la “puissance” d’un passeport selon le nombre de destinations accessibles sans visa préalable ou avec visa à l’arrivée.

Ces données, compilées à partir des registres de l’IATA (Timatic), offrent une photographie précise du degré d’ouverture de chaque nation. Mais au-delà des chiffres, ce rapport est devenu un instrument d’analyse géopolitique : il révèle les liens, les tensions et les évolutions de la diplomatie contemporaine.

L’édition d’octobre 2025 confirme la domination de plusieurs nations asiatiques qui conservent les premières places du classement mondial grâce à leur large accès sans visa à plus de 190 destinations.

D’autres pays, en revanche, enregistrent un léger recul. C’est le cas notamment de certaines puissances occidentales, qui perdent quelques rangs en raison de réajustements diplomatiques ou de politiques de visa plus restrictives. Ce phénomène illustre une tendance de fond : la compétitivité des passeports est désormais mouvante et dépendante de la qualité des relations bilatérales entretenues par chaque État.

Top 10 des passeports les plus puissants en 2025

D’après le classement officiel d’octobre 2025, le top 10 se compose comme suit :

Ce palmarès confirme la prépondérance européenne, six des dix premières positions étant occupées par des pays du continent. L’Asie, avec Singapour, la Corée du Sud et le Japon, conserve une forte avance en matière de mobilité.

Les États-Unis, classés 12ᵉ ex æquo avec la Malaisie et 180 destinations sans visa, se situent désormais derrière la majorité des grands pays européens. À titre de comparaison, la Chine pointe à la 64ᵉ place, avec 82 destinations accessibles.

Le recul américain, reflet d’un tournant politique

Le rapport d’octobre 2025 analyse longuement les raisons de ce déclin.

Selon Annie Pforzheimer, associée principale au Center for Strategic and International Studies (CSIS) à Washington, ce retrait « trouve ses racines dans la politique ».

Même avant le second mandat de Trump, la politique américaine s’était repliée sur elle-même. Cet isolationnisme se reflète aujourd’hui dans la perte du pouvoir du passeport américain.

Cette orientation a particulièrement affecté les relations avec les pays en développement, notamment en Afrique et au Moyen-Orient. Sous l’administration Trump, douze pays ont vu leurs ressortissants privés de visas pour les États-Unis, sept autres ont subi des restrictions renforcées, et jusqu’à 36 pays supplémentaires ont été menacés d’exclusion, dont une majorité sur le continent africain.

Une caution remboursable comprise entre 5 000 et 15 000 dollars américains est désormais exigée pour certains voyageurs africains, tandis qu’une « taxe d’intégrité des visas » de 250 dollars devrait prochainement s’appliquer à la plupart des demandes de visas non immigrants. Enfin, le coût du système d’autorisation de voyage électronique (ESTA) a presque doublé le 30 septembre 2025, passant de 21 à 40 dollars américains.

Ces mesures, cumulées à un discours politique plus fermé, traduisent un repli stratégique qui affaiblit la portée diplomatique des États-Unis et réduit leur “soft power” en matière de mobilité. Pour Henley & Partners, cette tendance illustre un glissement historique : alors que la mondialisation de la mobilité progresse, l’Amérique semble tourner le dos à son influence internationale, au risque de voir son passeport perdre peu à peu le prestige dont il jouissait depuis des décennies.

A l’automne 2022, plusieurs sociétés, dont la société SERVINCO (enseigne ACTION-VISAS) ont fait l’objet de virulentes campagnes de désinformation commerciale sur la toile. 

Au sein de ces campagnes de désinformation, les dirigeants de ces sociétés ont fait l’objet d’une usurpation d’identité (noms, prénoms, enseignes commerciales, logo,…) ayant pour objectif un déréférencement de leurs marques sur les sites Internet de certains de leurs partenaires commerciaux réguliers, impactant ainsi les recherches sur les moteurs tels que Google ou Bing.

Ces agissements ont fait l’objet de plusieurs plaintes pénales de la part des dirigeants et de leurs sociétés. 

Au terme d’une enquête particulièrement efficace dirigée par une section spécialisée en délinquance astucieuse du parquet de Paris, notamment sur Internet, Monsieur Sébastien Couix a été identifié comme l’auteur des faits objets des plaintes, ce qui a fait l’objet de différents articles dans la presse spécialisée (cf. articles de TourMaG et de l’Echo Touristique).

Il convient ici de rappeler que Monsieur Sébastien Couix est ou était, à tout le moins au jour des faits, le Président de la SASU VISAMUNDI, qui opère dans le même secteur d’aide à l’obtention de visas de tourisme ou d’affaires que les sociétés des dirigeants victimes d’usurpation d’identité. 

A la suite de cette enquête pénale fouillée et de l’audition au commissariat de M. Sébastien COUIX, il a été décidé de renvoyer celui-ci devant le Tribunal judiciaire de Nantes, pour y être jugé selon le rite de l’Ordonnance pénale. 

Ainsi, le 14 septembre 2023, Monsieur Sébastien Couix a été déclaré coupable par ce tribunal et condamné pour des faits constitutifs du délit pénal d’usurpation d’identité, comme suit :

Monsieur Sébastien Couix a formé opposition à l’encontre de cette décision et s’est donc vu renvoyer devant le Tribunal correctionnel pour y être jugé selon le rite ordinaire, l’exposant dès lors à un risque possible de peine plus élevée. 

Le jour de l’audience, le 27 mai 2025, les avocats des parties civiles apprenaient que le prévenu se désistait de son opposition, rendant ainsi la condamnation pénale de Monsieur Sébastien Couix prononcée le 14 septembre 2023 définitive. 

La société SERVINCO (enseigne ACTION-VISAS) se félicite de cette décision susceptible de restaurer la confiance légitime des consommateurs dans l’économie numérique.

La Tanzanie invite au contact de la nature. Entre les plaines du Serengeti et les rives du lac Manyara, chaque région du pays présente un paysage varié constitué des animaux atypiques, d’une végétation particulière et d’une nature singulière. Pourtant, le safari ne s’improvise pas. Il se prépare avec méthode, réflexion et un vrai sens du détail. L’expérience dépend de plusieurs facteurs qui sont diversement appréciés par les visiteurs.

Choisir la bonne agence pour encadrer son safari

Réussir votre visite de la faune et de la flore tanzanienne dépend de l’agence responsable de votre voyage. Traditionnellement, les agences sont chargées de la logistique, de la sécurité et de la cohérence du parcours. Parmi les offres de circuits vastes et variées, choisir son agence de voyage en Tanzanie pour un safari demande de faire attention aux itinéraires ajustés, respectueux du terrain et adaptés aux attentes de chaque voyageur.

En général, les agences sérieuses possèdent la licence TALA et collaborent avec des guides tanzaniens expérimentés. C’est ce qui leur permet d’avoir un solide ancrage. Certaines structures franco-tanzaniennes combinent expertise du terrain et garanties européennes. Ce double cadre rassure les voyageurs sur la qualité du suivi et la conformité des assurances.

Bien entendu, dans le monde du business, rien n’est sûr. C’est pourquoi vous devez consulter les avis authentiques disponibles sur des plateformes reconnues. Cela permet aussi de vérifier la crédibilité de chaque opérateur.

Clarifier ses envies avant toute réservation

Les safaris ne se ressemblent pas puisque les expériences varient fortement selon les saisons et les jours. Chaque safari représente une aventure unique. Pour éviter toute frustration, définissez clairement vos envies. Vous pouvez admirer le grand spectacle des migrations dans le Serengeti, admirer un parcours plus tranquille ou flâner le long des plages de Zanzibar.

Dans tous les cas, ces questions orientent le choix du parcours, la durée du séjour et le rythme de chaque étape. Les agences responsables adaptent les offres selon les profils du voyageur. Les familles avec enfants privilégient des trajets plus courts et des lodges confortables. Par contre, les couples optent pour des nuits en campement afin de vivre une immersion plus intense. Clarifiez vos priorités avant le départ pour éviter les malentendus.

Prévoir un budget cohérent et transparent

Le coût d’un safari dépend de nombreux paramètres comme :

• la durée ;
• la saison ;
• le niveau d’hébergement ;
• et la taille du groupe.

En moyenne, un circuit privé coûte davantage et offre une flexibilité totale. Par contre, les safaris en groupe réduisent les dépenses, mais imposent un rythme commun. Tenez aussi compte des frais cachés : entrées des parcs, pourboires ou carburant.

Les écarts de prix entre les devis proviennent de différences précises. Un lodge situé à l’intérieur d’un parc coûte plus cher qu’un hébergement à l’extérieur. Un véhicule bien entretenu avec kilométrage illimité implique un coût plus élevé avec plus de sécurité.

En 2026, misez sur la transparence. Exigez des agences des explications sérieuses sans dissimuler de frais supplémentaires. Un budget clair favorise une expérience sereine et sans surprise au moment du départ.

Adopter les bons gestes pour respecter la faune

Le bon safari traduit, bien au-delà de tous, votre engagement envers la nature. En Tanzanie, la faune reste fragile et l’équilibre des parcs dépend du respect des visiteurs. Ainsi, face aux animaux, gardez le silence et soyez patient. Dans tous les cas, vos guides vous rappelleront que chaque cri, chaque mouvement brusque perturbe la vie sauvage.

Au-delà de l’aspect distraction, les voyageurs soucieux d’éthique adoptent de plus en plus des agences qui soutiennent des projets locaux : écoles, coopératives, initiatives écologiques. Ces partenariats renforcent le lien entre le tourisme et le développement durable puisque vous encouragez une économie plus équitable et une meilleure préservation de l’environnement.

Vivre pleinement chaque instant du voyage

La beauté du safari repose sur les instants simples de la nature. Profitez du lever du soleil, de la silhouette des animaux au bord de la rivière ou d’un arbre. Ces moments ne se prévoient pas. Ils doivent se vivent avec calme et attention. Prenez le soin d’écouter et de ressentir.

Posez des questions aux guides locaux qui maîtrisent le terrain et vous permettent de comprendre les comportements des animaux et les particularités de chaque écosystème. En suivant leurs conseils, le safari devient une immersion authentique, loin des clichés touristiques.